Ali Haddad, 54 ans, a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche au poste-frontière d’Oum Tboul qui se trouve sur la route principale qui va de la ville d’Annaba, en Algérie, jusqu’à la région de Tunis.
Ali Haddad est à la tête d’une entreprise de travaux publics, de plusieurs médias et d’un club de football, mais il est surtout connu pour être très proche de Saïd Bouteflika, le frère du président algérien.
Très contesté ces dernières semaines, il avait présenté sa démission du FCE, l’organisation patronale, il y a quatre jours. Même si pour l’instant les motifs de l’arrestation ne sont pas clairs, il faut la mettre en lien¸ selon la presse algérienne, avec plusieurs mesures prises par les autorités ces derniers jours pour éviter la fuite de capitaux.
Les journaux évoquent également des restrictions de sortie du territoire pour certaines personnalités et des contrôles renforcés dans les aéroports.
Par ailleurs, les autorités algériennes ont interdit, ce dimanche matin, aux avions privés appartenant à des Algériens de décoller ou d'atterrir en Algérie et ce, jusqu'au 30 avril.
Ali Haddad est à la tête d’une entreprise de travaux publics, de plusieurs médias et d’un club de football, mais il est surtout connu pour être très proche de Saïd Bouteflika, le frère du président algérien.
Très contesté ces dernières semaines, il avait présenté sa démission du FCE, l’organisation patronale, il y a quatre jours. Même si pour l’instant les motifs de l’arrestation ne sont pas clairs, il faut la mettre en lien¸ selon la presse algérienne, avec plusieurs mesures prises par les autorités ces derniers jours pour éviter la fuite de capitaux.
Les journaux évoquent également des restrictions de sortie du territoire pour certaines personnalités et des contrôles renforcés dans les aéroports.
Par ailleurs, les autorités algériennes ont interdit, ce dimanche matin, aux avions privés appartenant à des Algériens de décoller ou d'atterrir en Algérie et ce, jusqu'au 30 avril.
Autres articles
-
Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»
-
Guerre au Soudan: l'ONU veut organiser des rencontres à Genève avec les belligérants
-
Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition
-
Madagascar: lancement «symbolique» de la concertation nationale, la société civile déçue
-
Mauritanie: six anciens responsables gouvernementaux inculpés pour détournements présumés de fonds publics




Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»


