
Deux anciens présidents et plusieurs opposants africains ont été refoulés jeudi 13 mars à leur arrivée à Luanda, bloqués à l’aéroport de la capitale angolaise sans explication officielle. Ils devaient participer à une réunion organisée par l’Unita, principal parti d’opposition angolais. Parmi eux, l’ancien président du Botswana Ian Khama, l'ex-président colombien Andrés Pastrana, ainsi que les opposants mozambicain Venancio Mondlane et tanzanien Tundu Lissu. Une interdiction qui suscite l’indignation.
« Un traitement indigne et inacceptable envers les ressortissants de nations sœurs africaines », dénonce Tundu Lissu sur X, visant directement les services d’immigration angolais.
Pour l’opposant tanzanien, cette interdiction est d’autant plus incompréhensible qu’elle viole les accords de libre circulation entre les pays d’Afrique australe. « Comme l’Angola, la Tanzanie est membre de la SADC et, à ce titre, nous, Tanzaniens, n’avons pas besoin de visa pour entrer en Angola », insiste-t-il.
« Un traitement indigne et inacceptable envers les ressortissants de nations sœurs africaines », dénonce Tundu Lissu sur X, visant directement les services d’immigration angolais.
Pour l’opposant tanzanien, cette interdiction est d’autant plus incompréhensible qu’elle viole les accords de libre circulation entre les pays d’Afrique australe. « Comme l’Angola, la Tanzanie est membre de la SADC et, à ce titre, nous, Tanzaniens, n’avons pas besoin de visa pour entrer en Angola », insiste-t-il.
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