En effet, il s’agit d’une véritable psychose chez les paysans provoquée par les phacochères. «Ce qui est regrettable, partout où ils passent, il y a aucune chance de récupérer quoi que ce soit que ce soient les tomates, le maïs et même les champs de riz », rage Khaly, propriétaire terrien à Pokhol victime du phénomène..
Propriétaire d’un vaste champ de maïs, Alpha pour sa part, ne dort plus du sommeil du juste. Selon le correspondant de la Rfm, il n’est pas le seul à « être obligé de passer la nuit au champ ».
Ce, sous peine de se retrouver bredouille à la récolte. Les paysans sont formels, les phacochères ont été chassés de la Mauritanie et se sont réfugiés au Sénégal où ils leur empêchent d’atteindre d’importantes quantités de productions. Ils appellent à l’aide les autorités étatiques.
Propriétaire d’un vaste champ de maïs, Alpha pour sa part, ne dort plus du sommeil du juste. Selon le correspondant de la Rfm, il n’est pas le seul à « être obligé de passer la nuit au champ ».
Ce, sous peine de se retrouver bredouille à la récolte. Les paysans sont formels, les phacochères ont été chassés de la Mauritanie et se sont réfugiés au Sénégal où ils leur empêchent d’atteindre d’importantes quantités de productions. Ils appellent à l’aide les autorités étatiques.
Autres articles
-
ARTP: RESTIC invite le nouveau DG à faire de la fracture numérique et digitale une priorité
-
Exonérations accordées aux sociétés minières : le Trésor délesté de plus de 234 milliards Fcfa
-
Licenciement au King Fahd Palace : le collectif des 76 licenciés menace de tenir un sit-in
-
Entre Karang et Saint-Louis : cinq réseaux de trafiquants de migrants démantelés par la DNLT
-
Louga : mise en place d'un comité de pêche artisanale