Face à la presse cet après-midi dans un hôtel de la place, Mes Ciré Clédor Ly et El Hadji Diouf ont exigé un jugement ou une libération de leurs deux clients à savoir Assane Diouf et de Cheikh Gadiaga, poursuivis respectivement pour «injures publiques» et «extorsion de fonds et chantage». Les robes noires ont informé que ces derniers subissent des injustices commises par des acteurs de la justice, au détriment des justiciables.
«Assane Diouf a été maltraité en prison. Sa jambe a été fracturée par des gardes pénitentiaires, restés à ce jour impunis. Après ses graves blessures, il avait été ignoré trente-trois (33) jours durant, dans sa souffrance, avant que ne commence son traitement. Il est jeté dans une cellule isolée dans laquelle il frise la folie, sous prétexte de protection de sa personne », a révélé Me Ciré Clédor Ly.
L’avocat de se questionner : «laisse-t-on trente-trois (33) jours durant une jambe cassée lorsqu’on est soucieux de la santé et de la sécurité de la victime ? ».
Quant à Cheikh Mbacké Gadiaga, la robe noire d’informer qu’il «subit le même mauvais traitement», qu’Assane Diouf, « consécutif à une détention devenue illégale, donc arbitraire».
«Depuis près de 6 mois, il attend d’être jugé », souligne Me Ciré Clédor Ly, qui précise que lui et ses camarades « restent cependant sans illusions mais sont prêts à toute surprise face à une justice qui chavire et en plein dérive ».
«Assane Diouf a été maltraité en prison. Sa jambe a été fracturée par des gardes pénitentiaires, restés à ce jour impunis. Après ses graves blessures, il avait été ignoré trente-trois (33) jours durant, dans sa souffrance, avant que ne commence son traitement. Il est jeté dans une cellule isolée dans laquelle il frise la folie, sous prétexte de protection de sa personne », a révélé Me Ciré Clédor Ly.
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