L’ex Directeur Général de l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), Daniel Goumalo Seck est depuis ce matin devant le doyen des juges. Selon nos confrères de la Radio Futur Média, sa présence devant la justice fait suite à l’audite de la société qu’il dirigeait par l’Inspection Générale d’Etat (IGE). Ce rapport révèle que: «les membres du conseil de régulation et des agents de l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes se sont partagés de manière indue plusieurs centaines de millions de FCFA».
Les inspecteurs dénoncent la répartition qui a été faite par l’ARTP, via son conseil de régulation, du code part tiré du prix de vente de la licence global accordée à SUDATEL. Selon eux, Daniel Goumalo Seck s’est octroyé la somme de 130 Millions en violation de la loi. Il est aussi accusé d’avoir versé 86 Millions à l’Agence Nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique sans qu’elle n’en fasse la demande. L’IGE parle de détournement de l’argent public et d’abus de biens sociaux.
L’Inspection Générale d’Etat avait recommandé que les personnes mise en cause remboursent l’argent ou à défaut qu’elles soit poursuivies. Les mises en causes se défendent d’avoir violé la loi. Ils brandissent un décret de 2008 signé par le Président de la République et contre-signé par son ancien Premier Ministre, Adjibou Soumaré. Ce décret autorise un prélèvement de 2% de prime sur le montant Total de la Licence, soit plus d’un Milliard FCFA.
Les inspecteurs dénoncent la répartition qui a été faite par l’ARTP, via son conseil de régulation, du code part tiré du prix de vente de la licence global accordée à SUDATEL. Selon eux, Daniel Goumalo Seck s’est octroyé la somme de 130 Millions en violation de la loi. Il est aussi accusé d’avoir versé 86 Millions à l’Agence Nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique sans qu’elle n’en fasse la demande. L’IGE parle de détournement de l’argent public et d’abus de biens sociaux.
L’Inspection Générale d’Etat avait recommandé que les personnes mise en cause remboursent l’argent ou à défaut qu’elles soit poursuivies. Les mises en causes se défendent d’avoir violé la loi. Ils brandissent un décret de 2008 signé par le Président de la République et contre-signé par son ancien Premier Ministre, Adjibou Soumaré. Ce décret autorise un prélèvement de 2% de prime sur le montant Total de la Licence, soit plus d’un Milliard FCFA.
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