«Nous avons enregistré des succès considérables mais il y a encore des défis», c'est avec ces mots que le président nigérian a tenté de convaincre les parlementaires. Face à Boko Haram, des dispositions exceptionnelles sont toujours nécessaires dans le Nord-Est, fief du groupe islamiste, plaide Goodluck Jonathan. Mais si l'instauration de l'état d'urgence a été, en mai dernier, facilement obtenue, rien n'indique qu'il en soit de même cette fois-ci.
→ A (RE)LIRE : Nigeria: Goodluck Jonathan décrète l’état d’urgence pour combattre Boko Haram
Rien, en effet, ne semble avoir changé. Ces derniers mois, les attaques se sont poursuivies, elles se sont même intensifiées. Plus de 100 étudiants ont notamment été assassinés.
→ A (RE)LIRE : Nigeria : recrudescence d’attaques imputées à Boko Haram
Boko Haram est pourtant sous pression. Cela fait maintenant six mois qu'une vaste opération militaire a été lancée dans les Etats de Borno Yobé et Adamawa, l'armée ne cesse d'annoncer que des camps du groupe ont été détruits, des combattants tués. Le vote des parlementaires nigérians doit avoir lieu dans les prochains jours.
Source : Rfi.fr
-
Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud
-
Coup d'État au Bénin : l'ONU met en garde contre des "réformes excluantes"
-
Nationalisation de Somair au Niger: Paris ouvre une enquête pour «vol en bande organisée»
-
CEDEAO : une délégation des Chefs d'état-major généraux des armées va séjourner en Guinée-Bissau du 19 au 23 décembre
-
Burundi: l’ONU lance un appel pour pouvoir venir en aide aux réfugiés fuyant l’est de la RDC





Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud


