«La déclaration du ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, traduit l’intention du régime en place d’organiser des élections en 2019, ce qui serait inacceptable». Ces propos sont de Babacar Gaye après la sortie, hier, du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique à l’Assemblée nationale. Ce dernier s’étant déclaré inapte à se prononcer sur la tenue d’un référendum pour la réduction du mandat du président de la République en 2016.
Interprétant ces paroles comme un désir inavoué du pouvoir en place de ne pas tenir la prochaine élection présidentielle en 2017, le porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds) avertit : «sous ce rapport, les démocrates de ce pays, la société civile, le peuple sénégalais en général ne l’accepteront pas. L’élection se tiendra à la date qui a fait l’objet d’un engagement ferme de la part du Président Macky Sall, en 2017. Les conséquences d’un reniement seront de la responsabilité unique et personnelle du Président Macky Sall».
Selon l’ancien président du Conseil départemental de Kaffrine, qui s’entretenait avec nos confrères de l’Observateur, ces déclarations qui font dans le clair-obscur découlent du fait que les tenants du pouvoir ont conscience que «les sénégalais en ont marre d’un régime tatillon», et que «les forces politiques et démocratiques sont prêtes à le faire partir le jour où il organisera les élections».
Interprétant ces paroles comme un désir inavoué du pouvoir en place de ne pas tenir la prochaine élection présidentielle en 2017, le porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds) avertit : «sous ce rapport, les démocrates de ce pays, la société civile, le peuple sénégalais en général ne l’accepteront pas. L’élection se tiendra à la date qui a fait l’objet d’un engagement ferme de la part du Président Macky Sall, en 2017. Les conséquences d’un reniement seront de la responsabilité unique et personnelle du Président Macky Sall».
Selon l’ancien président du Conseil départemental de Kaffrine, qui s’entretenait avec nos confrères de l’Observateur, ces déclarations qui font dans le clair-obscur découlent du fait que les tenants du pouvoir ont conscience que «les sénégalais en ont marre d’un régime tatillon», et que «les forces politiques et démocratiques sont prêtes à le faire partir le jour où il organisera les élections».
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