Le scandale qui s’est produit au centre d’examen de Pekesse fait couler beaucoup d’encre. Le surveillant qui a fait exploser l’affaire dévoile la stratégie minutieusement élaborée pour piéger les 15 candidats libres fraudeurs aux épreuves de philosophie au centre de Pekesse.
D’après le surveillant, c’est un groupe composé de 14 filles et un garçon. Sur la liste des candidats, dit-il, on a constaté que leurs noms étaient superposés et qu’ils avaient ensuite choisi la même salle d’examen et étaient assis dans la même rangée. « Dans la salle, on était 3 surveillants. Quand on a démarré à 8 heures, les épreuves de philosophie, tous les candidats ont commencé à écrire, sauf ces tricheurs. Ils sont restés jusqu’à 8h 52 mn sans rien écrire. Ils voulaient attendre jusqu’à avoir l’occasion de tricher pour sortir leurs téléphones, mais la surveillance était rigoureuse", a-t-il déclaré dans L'Observateur.
« À un moment donné, une candidate est couchée sur la table, déclarant qu’elle est malade. Tout ça pour tromper notre vigilance (…). Pour les piéger, j’ai demandé à un de mes collègues qu’un seul surveillant reste dans la salle. Et je suis sorti avec un autre surveillant. Du coup, le surveillant qui était resté m’a appelé pour me dire qu’une candidate est en train de tricher avec son téléphone», a ajouté le surveillant.
«Quand je suis revenu, je lui ai demandé de se lever et son téléphone qu’elle avait caché dans ses habits est tombé. J’ai ensuite demandé à tous les candidats de cette rangée de se lever et pratiquement tous avaient un téléphone dans les habits», a-t-il poursuivi.
Dépassé par la situation, le surveillant a fait appel au président du jury. Ce dernier a alerté le Commandant de la Gendarmerie de la localité.
Arrivés au centre, les forces de l’ordre ont fouillé les 15 candidats libres et trouvé sur chacun des feuilles ou téléphone contenant des épreuves de philosophie corrigées, renseigne « L’Observateur ».
D’après le surveillant, c’est un groupe composé de 14 filles et un garçon. Sur la liste des candidats, dit-il, on a constaté que leurs noms étaient superposés et qu’ils avaient ensuite choisi la même salle d’examen et étaient assis dans la même rangée. « Dans la salle, on était 3 surveillants. Quand on a démarré à 8 heures, les épreuves de philosophie, tous les candidats ont commencé à écrire, sauf ces tricheurs. Ils sont restés jusqu’à 8h 52 mn sans rien écrire. Ils voulaient attendre jusqu’à avoir l’occasion de tricher pour sortir leurs téléphones, mais la surveillance était rigoureuse", a-t-il déclaré dans L'Observateur.
« À un moment donné, une candidate est couchée sur la table, déclarant qu’elle est malade. Tout ça pour tromper notre vigilance (…). Pour les piéger, j’ai demandé à un de mes collègues qu’un seul surveillant reste dans la salle. Et je suis sorti avec un autre surveillant. Du coup, le surveillant qui était resté m’a appelé pour me dire qu’une candidate est en train de tricher avec son téléphone», a ajouté le surveillant.
«Quand je suis revenu, je lui ai demandé de se lever et son téléphone qu’elle avait caché dans ses habits est tombé. J’ai ensuite demandé à tous les candidats de cette rangée de se lever et pratiquement tous avaient un téléphone dans les habits», a-t-il poursuivi.
Dépassé par la situation, le surveillant a fait appel au président du jury. Ce dernier a alerté le Commandant de la Gendarmerie de la localité.
Arrivés au centre, les forces de l’ordre ont fouillé les 15 candidats libres et trouvé sur chacun des feuilles ou téléphone contenant des épreuves de philosophie corrigées, renseigne « L’Observateur ».
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