L’opposition n’obtient toujours pas la suppression des 16 parrainages de député ou de maires, exigés à tout candidat, disposition contre laquelle elle se bat, parce qu’elle n’a pas d’élu. Mais avec les consignes de l’Union progressiste, elle peut espérer les parrainages des élus de la mouvance
« Le bureau politique de l’Union progressiste donne mandat à la direction exécutive nationale pour inviter les députés et les maires élus sur les listes de l’Union progressiste à parrainer aux poste de président de la République et de vice-président de la République, tout candidat soutenu par un parti politique ayant une existence légale », spécifie la résolution lue samedi devant plus de 300 délégués par Antoine Idji Kolawolé, membre du bureau politique.
Patrice Talon avait promis, lors de sa tournée nationale, une compétition ouverte, avec la participation des candidats de l’opposition. Des sources informées, rapportent que fin décembre, le chef de l’Etat aurait réuni ses troupes dans ce sens.
Les consignes formulées en ces termes excluent de fait l’Union sociale libérale de Sébastien Ajavon qui n’a pas d’existence légale. Un militant de l’USL considère que c’est le président Talon qui choisit ses adversaires.
Les partis d’opposition FCBE, ex-parti de Boni Yayi, Restaurer l’espoir de Candide Azanaï et Les Démocrates n’ont pas encore fait de déclaration officielle pour faire part de leur position.
« Le bureau politique de l’Union progressiste donne mandat à la direction exécutive nationale pour inviter les députés et les maires élus sur les listes de l’Union progressiste à parrainer aux poste de président de la République et de vice-président de la République, tout candidat soutenu par un parti politique ayant une existence légale », spécifie la résolution lue samedi devant plus de 300 délégués par Antoine Idji Kolawolé, membre du bureau politique.
Patrice Talon avait promis, lors de sa tournée nationale, une compétition ouverte, avec la participation des candidats de l’opposition. Des sources informées, rapportent que fin décembre, le chef de l’Etat aurait réuni ses troupes dans ce sens.
Les consignes formulées en ces termes excluent de fait l’Union sociale libérale de Sébastien Ajavon qui n’a pas d’existence légale. Un militant de l’USL considère que c’est le président Talon qui choisit ses adversaires.
Les partis d’opposition FCBE, ex-parti de Boni Yayi, Restaurer l’espoir de Candide Azanaï et Les Démocrates n’ont pas encore fait de déclaration officielle pour faire part de leur position.
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