Chaude lendemain de Tabaski à Bounkilling (sud du Sénégal). Aucun véhicule n’a circulé ce matin sur la route nationale n°4 à hauteur dudit département où les jeunes ne cachent plus leur colère contre les accidents de la circulation dont le dernier en date d’hier nuit, une voiture a emporté une petite fille.
Les jeunes qui protestaient ce vendredi disent agir de la sorte pour protester contre les cas récurrents d’accidents sur la route nationale n°4 dans le département de Bounkilling. Depuis ce matin, la circulation est sérieusement perturbée. « Aujourd’hui, nous avons décidé de barrer la route nationale pour manifester parce qu’il se passe de terribles accidents qui sont dus au non respect du code de la route des chauffeurs. Pas plus tard qu’hier nuit, une voiture a renversé une petite fille ici a Bounkilling. Et cela nous a choqué. Depuis 2009, on a de cesse d’enregistrer ces accidents mortels dans la commune et cela nous inquiète », fulmine leur porte-parole, Mamadou Diatta qui précise avoir « contacté le préfet qui se trouve être l’autorité n° 1 du département pour au moins qu’on essaie de trouver des solutions pour pallier ces drames répétitifs mais sans suite, rien est fait, rien. Je tenais entre mes mains la correspondance qu’on lui a adressée ».
Le préfet dément avoir reçu toute correspondance de ses jeunes mais confirme, selon le correspondant de la Rfm, les avoir reçu et a, à cet effet saisi l’AGETIP pour la construction de dos d’âne sur l’axe. Mais une note lui a été renvoyée exigeant l’autorisation du ministre des infrastructures pour la dite construction de dos d’âne.
Les jeunes qui protestaient ce vendredi disent agir de la sorte pour protester contre les cas récurrents d’accidents sur la route nationale n°4 dans le département de Bounkilling. Depuis ce matin, la circulation est sérieusement perturbée. « Aujourd’hui, nous avons décidé de barrer la route nationale pour manifester parce qu’il se passe de terribles accidents qui sont dus au non respect du code de la route des chauffeurs. Pas plus tard qu’hier nuit, une voiture a renversé une petite fille ici a Bounkilling. Et cela nous a choqué. Depuis 2009, on a de cesse d’enregistrer ces accidents mortels dans la commune et cela nous inquiète », fulmine leur porte-parole, Mamadou Diatta qui précise avoir « contacté le préfet qui se trouve être l’autorité n° 1 du département pour au moins qu’on essaie de trouver des solutions pour pallier ces drames répétitifs mais sans suite, rien est fait, rien. Je tenais entre mes mains la correspondance qu’on lui a adressée ».
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