
Des têtes commencent à tomber après l’attaque d’un détachement de gendarmerie dimanche 14 novembre 2021 à Inata dans le Soum.
Le conseil des ministres, en sa séance, de ce mercredi 17 novembre, a relevé de leurs fonctions deux hauts gradés de l’armée. Il s’agit du commandant du groupement des forces du secteur Nord et le commandant de la 1re région de gendarmerie.
Selon le porte-parole du gouvernement Ousséni Tamboura, le président du Faso, Roch Kaboré a demandé qu’il soit instruit une enquête administrative pour davantage situer les responsabilités dans cette tragédie.
Selon Ousséni Tamboura, l’attaque a fait 53 morts dont 49 gendarmes et 4 civils, selon un dernier bilan dressé mardi 16 novembre à 22h. 46 gendarmes ont été également retrouvés, selon le ministre Tamboura.
« Nos process exigent des constatations physiques par les forces de défense et de sécurité avant de donner un bilan. Il ne s’agit pas de recouper des informations par ci par là mais de constatations par les FDS. Nous nous abstenons de faire cas des personnes qui manquent à l’appel d’une part pour augmenter leurs chances de survie », a indiqué le ministre Ousséni Tamboura.
Rappelons que le premier bilan provisoire dressé au soir de l’attaque était de 20 morts. Un autre bilan actualisé avait établi le nombre des victimes à 32 dont 28 gendarmes. Le deuil national de 3 jours décrété à partir du 16 novembre prend fin demain 18 novembre à 24h.
Le conseil des ministres, en sa séance, de ce mercredi 17 novembre, a relevé de leurs fonctions deux hauts gradés de l’armée. Il s’agit du commandant du groupement des forces du secteur Nord et le commandant de la 1re région de gendarmerie.
Selon le porte-parole du gouvernement Ousséni Tamboura, le président du Faso, Roch Kaboré a demandé qu’il soit instruit une enquête administrative pour davantage situer les responsabilités dans cette tragédie.
Selon Ousséni Tamboura, l’attaque a fait 53 morts dont 49 gendarmes et 4 civils, selon un dernier bilan dressé mardi 16 novembre à 22h. 46 gendarmes ont été également retrouvés, selon le ministre Tamboura.
« Nos process exigent des constatations physiques par les forces de défense et de sécurité avant de donner un bilan. Il ne s’agit pas de recouper des informations par ci par là mais de constatations par les FDS. Nous nous abstenons de faire cas des personnes qui manquent à l’appel d’une part pour augmenter leurs chances de survie », a indiqué le ministre Ousséni Tamboura.
Rappelons que le premier bilan provisoire dressé au soir de l’attaque était de 20 morts. Un autre bilan actualisé avait établi le nombre des victimes à 32 dont 28 gendarmes. Le deuil national de 3 jours décrété à partir du 16 novembre prend fin demain 18 novembre à 24h.
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