La tension est vive à Ziguinchor. Au moment où ces lignes sont écrites, les enseignants du G6 affrontent les forces sécuritaires de Ziguinchor, déployées par le préfet pour empêcher la marche prévue ce jeudi. Et, pour dénoncer «cette injustice», les enseignants ont décidé de tenir tête au préfet Ibra Fall. Un (1) des manifestants, a été blessé, informe Zik FM.
Interrogé, un des membres du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) déplore la situation qui se passe actuellement dans le Sud du pays.
«Ce qui se passe à l’instant, c’est déplorable parce que des enseignants, des républicains, des faiseurs de consciences qui se mobilisent pour dire non à l’injustice que nous vivons, et pour dire oui au respect des accords signés avec l’Etat du Sénégal depuis 2014, et on leur inflige cela », s'indigne Hamidou Diédhiou
Il explique les raisons qui les ont poussés à tenir tête au Préfet : «après avoir autorisé la marche le 6 avril dernier, c’est hier vers 21 heures qu’on nous notifie que cette marche ne serait pas autorisée parce que, disent-ils, il y a eu des menaces à l’ordre publique. Nous disons non».
«Nous avons fait des marches partout dans le pays, à Thiès, à Kaolack, et ici à Ziguinchor, on veut nous interdire cela, c’est injuste. Nous sommes déterminés à faire face aux balles, aux lacrymogènes qu’ils sont en train de lancer», avance-il.
Interrogé, un des membres du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) déplore la situation qui se passe actuellement dans le Sud du pays.
«Ce qui se passe à l’instant, c’est déplorable parce que des enseignants, des républicains, des faiseurs de consciences qui se mobilisent pour dire non à l’injustice que nous vivons, et pour dire oui au respect des accords signés avec l’Etat du Sénégal depuis 2014, et on leur inflige cela », s'indigne Hamidou Diédhiou
Il explique les raisons qui les ont poussés à tenir tête au Préfet : «après avoir autorisé la marche le 6 avril dernier, c’est hier vers 21 heures qu’on nous notifie que cette marche ne serait pas autorisée parce que, disent-ils, il y a eu des menaces à l’ordre publique. Nous disons non».
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