L’enquête ouverte après le violent cambriolage, doublé d’un viol collectif, commis à la villa de l’architecte béninoise Lydia Assani, située à Saly (Mbour, centre), sur la route de Nguérigne, derrière le complexe hôtelier La Tanière, prend un tournant important. En effet, le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Mbour a confié le dossier à la Brigade de recherches (BR) de la gendarmerie de Saly Portudal, bien que les premières constatations aient été effectuées par les éléments du commissariat spécial de la cité balnéaire.
Aussitôt alertés, tard dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6, les policiers s’étaient précipitamment rendus sur les lieux pour porter secours aux victimes et tenter d’intercepter les assaillants. Ces derniers avaient toutefois pris la fuite à bord de la voiture familiale, une Ford Limited, avant de l’abandonner dans leur cavale au campement de Nguekokh.
La Brigade de recherches de Saly Portudal est désormais chargée de faire toute la lumière sur cette affaire d’une gravité particulière qui a profondément choqué l’opinion. Les enquêteurs se sont rendus sur place pour procéder à des constatations minutieuses sur la scène du crime.
Selon les informations rapportées par L’Observateur, cette intervention a été suivie de la convocation de tous les membres de la famille de Lydia Assani ainsi que des agents de sécurité en poste lors de l’intrusion. Tous ont été entendus par les enquêteurs.
Quant à la fille adoptive de Lydia Assani, victime d’un viol collectif perpétré par cinq (5) des dix-huit (18) malfaiteurs présumés, elle a été prise en charge dans une structure sanitaire de la place. La veille, elle devait recevoir une injection prophylactique contre le VIH/Sida.
Aussitôt alertés, tard dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6, les policiers s’étaient précipitamment rendus sur les lieux pour porter secours aux victimes et tenter d’intercepter les assaillants. Ces derniers avaient toutefois pris la fuite à bord de la voiture familiale, une Ford Limited, avant de l’abandonner dans leur cavale au campement de Nguekokh.
La Brigade de recherches de Saly Portudal est désormais chargée de faire toute la lumière sur cette affaire d’une gravité particulière qui a profondément choqué l’opinion. Les enquêteurs se sont rendus sur place pour procéder à des constatations minutieuses sur la scène du crime.
Selon les informations rapportées par L’Observateur, cette intervention a été suivie de la convocation de tous les membres de la famille de Lydia Assani ainsi que des agents de sécurité en poste lors de l’intrusion. Tous ont été entendus par les enquêteurs.
Quant à la fille adoptive de Lydia Assani, victime d’un viol collectif perpétré par cinq (5) des dix-huit (18) malfaiteurs présumés, elle a été prise en charge dans une structure sanitaire de la place. La veille, elle devait recevoir une injection prophylactique contre le VIH/Sida.
Autres articles
-
Mort d'Abdoulaye Diop en France : son père accuse des « discours politiques irresponsables » et interpelle l’État
-
Kédougou : des éboulements sur des sites d’orpaillage font 9 morts
-
Santé sexuelle et reproductive à Kolda : un accès encore difficile pour les femmes et filles handicapées
-
Emploi et Entrepreneuriat : Dakar lance la première édition du Salon Job Dating pour booster l’insertion des jeunes
-
Plus de 15 femmes tuées en 2025 : le FRAPP exige des réformes urgentes pour protéger les femmes




Mort d'Abdoulaye Diop en France : son père accuse des « discours politiques irresponsables » et interpelle l’État


