Dans leur communiqué, les socialistes s’en prennent violemment aux juristes qui défendent Me Wade dans ce dossier « il y aurait de quoi désespérer de la science des maîtres qui ont formé ces juristes de pacotille si leur mauvaise foi évidente et l’indigence de leur argumentaire n’étaient si manifestement dictées par les nécessités actuelles de la défense des prébendes et des sinécures ».
Pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, le communiqué ajoute « en vérité, ce débat n’est pas celui de thuriféraires désignés ou autoproclamés qui n’y participent que par un opportunisme à tous crins. Il n’est pas non plus celui des caudataires appointés et des courtisans accointés avec le régime décadent d’Abdoulaye WADE… ».
Seulement faisant face à « un adepte de l’abaissement de la parole publique de l’Etat et de l’avilissement de nos institutions républicaines », le PS « parallèlement à la poursuite de la lutte sur le terrain politique pour le respect de la Constitution, va prendre dès à présent les mesures conservatoires qui s’imposent ».
« En particulier, le Parti socialiste étudie, en rapport avec ses avocats, la possibilité de servir une sommation interpellative à Abdoulaye Wade pour l’obliger à confirmer ses aveux publics en conférence de presse au lendemain de son élection frauduleuse de février 2007 ou à se rétracter sans vergogne, en homme habitué au reniement et au parjure qu’il a toujours été. Aussi, le Parti socialiste a déjà demandé à un officier ministériel de dresser un procès verbal de transcription des déclarations radiotélévisées qui serait versé, en temps utile, au dossier… ».
« Ce serait probablement le dernier et non le moindre des crimes qu’il collectionne allégrement depuis 2000, voire même avant, et qui le rendent coupable de Haute Trahison passible par conséquent de la Haute Cour de Justice. Dans ce cadre, un pool d’avocats sénégalais et étrangers sera incessamment commis par le Parti socialiste pour anticiper et se pencher à l’avance sur le double aspect constitutionnel et pénal du dossier afin de faire en sorte que, quoi qu’il puisse arriver, force reste à la Constitution et aux lois du Sénégal », précise le communiqué.
Pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, le communiqué ajoute « en vérité, ce débat n’est pas celui de thuriféraires désignés ou autoproclamés qui n’y participent que par un opportunisme à tous crins. Il n’est pas non plus celui des caudataires appointés et des courtisans accointés avec le régime décadent d’Abdoulaye WADE… ».
Seulement faisant face à « un adepte de l’abaissement de la parole publique de l’Etat et de l’avilissement de nos institutions républicaines », le PS « parallèlement à la poursuite de la lutte sur le terrain politique pour le respect de la Constitution, va prendre dès à présent les mesures conservatoires qui s’imposent ».
« En particulier, le Parti socialiste étudie, en rapport avec ses avocats, la possibilité de servir une sommation interpellative à Abdoulaye Wade pour l’obliger à confirmer ses aveux publics en conférence de presse au lendemain de son élection frauduleuse de février 2007 ou à se rétracter sans vergogne, en homme habitué au reniement et au parjure qu’il a toujours été. Aussi, le Parti socialiste a déjà demandé à un officier ministériel de dresser un procès verbal de transcription des déclarations radiotélévisées qui serait versé, en temps utile, au dossier… ».
« Ce serait probablement le dernier et non le moindre des crimes qu’il collectionne allégrement depuis 2000, voire même avant, et qui le rendent coupable de Haute Trahison passible par conséquent de la Haute Cour de Justice. Dans ce cadre, un pool d’avocats sénégalais et étrangers sera incessamment commis par le Parti socialiste pour anticiper et se pencher à l’avance sur le double aspect constitutionnel et pénal du dossier afin de faire en sorte que, quoi qu’il puisse arriver, force reste à la Constitution et aux lois du Sénégal », précise le communiqué.
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