Carla Bruni-Sarkozy est une femme pleine de paradoxes. Avant d’épouser le héraut de la « droite décomplexée », elle était perçue comme une femme de gauche, par exemple. Aujourd’hui, elle assure être « l’animal le plus apolitique qui soit ». Pourtant, ça ne l’empêche pas d’être à fond derrière son mari. Selon elle, il a « réalisé des choses extraordinaires ». Universités, retraites, RSA, Géorgie, Lybie, Côte d’Ivoire, Hadopi, crise financière : à l’écouter, le bilan est plus que satisfaisant. « En ces temps de crise, notre pays a besoin d’un homme comme lui », assure-t-elle. Mais qu’on n’aille pas s’imaginer qu’elle fait de la politique, hein ! Ah, ça, non ! Quand elle l’accompagne aux meetings, c’est parce que sans ça, elle ne le voit plus. « Je ne fais pas de propagande amoureuse », insiste-t-elle.
Pas de politique pour elle, donc. Même si elle glisse dans son interview accordée au Nouvel Obs, qu’elle regrette « la gauche de M. Rocard », par opposition à « la gauche caviar » d’aujourd’hui. « La maison d’enchères achetée par Laurent Fabius avec une liste d’amis à couper le souffle, de grands financiers, le patron de HSBC, de Morgan Stanley ou de la banque Rothschild » : tout cela la choque. Et elle voudrait discréditer le candidat socialiste qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Car Carla Bruni connaît bien les médias. Elle a beau taper sur « l’élite parisienne » qui compose ce milieu, elle dévoile qu’elle sait « depuis l’âge de 20 ans » séparer sa vie privée de sa vie publique. « Avoir été mannequin puis chanteuse » l’a aidée dans son apprentissage de la notoriété.
Depuis qu’elle est première dame, elle a changé d’image, surtout depuis son voyage en Angleterre où sa tenue Jacky Kennedy très classe a séduit. Plus lisse, plus consensuelle, Carla ressemblerait presque à Claude, la femme du président Georges Pompidou, lance la journaliste qui l’interviewe. « À côté de Mme Pompidou, avec mon expérience des médias, je suis Lady Gaga ! Arrêtez avec les étiquettes », rétorque-t-elle. Lors du passage de son époux dans l’émission Des paroles et des actes, elle avait pourtant brandi haut et fort le panneau « Nous sommes des gens modestes ! » alors qu’on évoquait le Fouquet’s.
Pas de politique pour elle, donc. Même si elle glisse dans son interview accordée au Nouvel Obs, qu’elle regrette « la gauche de M. Rocard », par opposition à « la gauche caviar » d’aujourd’hui. « La maison d’enchères achetée par Laurent Fabius avec une liste d’amis à couper le souffle, de grands financiers, le patron de HSBC, de Morgan Stanley ou de la banque Rothschild » : tout cela la choque. Et elle voudrait discréditer le candidat socialiste qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Car Carla Bruni connaît bien les médias. Elle a beau taper sur « l’élite parisienne » qui compose ce milieu, elle dévoile qu’elle sait « depuis l’âge de 20 ans » séparer sa vie privée de sa vie publique. « Avoir été mannequin puis chanteuse » l’a aidée dans son apprentissage de la notoriété.
Depuis qu’elle est première dame, elle a changé d’image, surtout depuis son voyage en Angleterre où sa tenue Jacky Kennedy très classe a séduit. Plus lisse, plus consensuelle, Carla ressemblerait presque à Claude, la femme du président Georges Pompidou, lance la journaliste qui l’interviewe. « À côté de Mme Pompidou, avec mon expérience des médias, je suis Lady Gaga ! Arrêtez avec les étiquettes », rétorque-t-elle. Lors du passage de son époux dans l’émission Des paroles et des actes, elle avait pourtant brandi haut et fort le panneau « Nous sommes des gens modestes ! » alors qu’on évoquait le Fouquet’s.
Mais on l’a mal comprise : « Je ne parlais pas de notre train de vie. J’ai conscience d’avoir une vie pleine de privilèges. Je regardais mon mari à l’écran et j’ai sans doute dit qu’il était modeste dans son attitude, au sens du contraire de l’arrogance, de la crânerie. Je ne crois pas que cela ait choqué quiconque, à part peut-être le petit milieu médiatique. » Certains de nos lecteurs, Emmanuelle, Jorge, Eva ou Catherine – qui n’appartiennent pas à ce « petit milieu » - ont pourtant fait part de leur étonnement face à ces propos, dans des commentaires postés sur notre site.
Qu’importe pour Carla Bruni-Sarkozy. Elle a déjà établi son programme pour les cinq ans à venir : « Si Nicolas est réélu, j’essaierai de soutenir les femmes. Et je poursuivrai mon combat contre l’illettrisme. » Et en cas de défaite ? Elle a du mal à s’imaginer cette éventualité. « On n’anticipe pas les choses importantes de la vie. » De toute façon, elle a « la conviction qu’il sera réélu ». En attendant, pour échapper à la pression, Carla se promène, « déguisée ». « Avec une perruque, personne ne me reconnaît dans le métro. Récemment, on a encore fouillé mon sac au Musée de la Marine », raconte-t-elle. Une femme normale, en somme.
Source: Voici.fr
Qu’importe pour Carla Bruni-Sarkozy. Elle a déjà établi son programme pour les cinq ans à venir : « Si Nicolas est réélu, j’essaierai de soutenir les femmes. Et je poursuivrai mon combat contre l’illettrisme. » Et en cas de défaite ? Elle a du mal à s’imaginer cette éventualité. « On n’anticipe pas les choses importantes de la vie. » De toute façon, elle a « la conviction qu’il sera réélu ». En attendant, pour échapper à la pression, Carla se promène, « déguisée ». « Avec une perruque, personne ne me reconnaît dans le métro. Récemment, on a encore fouillé mon sac au Musée de la Marine », raconte-t-elle. Une femme normale, en somme.
Source: Voici.fr
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