La communauté mouride ainsi qu’une partie des musulmans vont célébrer cette nuit le laylatoul Khadr ou la nuit du destin. Cette nuit, qui vaut mieux que 1000 mois était particulièrement estimait par Cheikh Ahmadou Bamba qui l’attendait chaque année avec impatience. Cette fibre est transmise à sa descendance, mais celle qui a le plus marqué les esprits est sans nulle doute Sokhna Maïmouna Mbacké.
En effet, cette fille de Serigne Touba que les fidèles avaient l’habitude d’appeler «Badiène Maï» n’était âgée que de 2 ans lorsque son vénéré père quitta ce bas-monde. Mais, recueillie par son frère ainé, Serigne Modou Moustapha Mbacké, Badiène Maï fut éduquée selon les préceptes de la religion musulmane.
C’est en 1952 que Sokhna Maï apporta pour la première fois à Serigne Fallou Mbacké, 2ième Khalife de Serigne Touba deux poulets pour la célébration de la nuit du destin. Ce dernier, lui ayant fait savoir que le Cheikh avait accepté son geste pria pour elle. Et depuis ce jour, d’année en année, cette nuit prit des proportions extraordinaires dans le cœur des fidèles, qui se rappellent de Sokhna Maï à chaque nuit du destin.
En effet, cette fille de Serigne Touba que les fidèles avaient l’habitude d’appeler «Badiène Maï» n’était âgée que de 2 ans lorsque son vénéré père quitta ce bas-monde. Mais, recueillie par son frère ainé, Serigne Modou Moustapha Mbacké, Badiène Maï fut éduquée selon les préceptes de la religion musulmane.
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