Le statut de l’opposition n’est pas sa première préoccupation. C’est l’avis de Mamadou Diop Decroix qui effectuait une tournée à Touba. Le secrétaire général de And Jëff, par ailleurs coordonnateur du Front pour la défense de la république, et membre de Mankoo Wattu Senegaal, trouve qu’il y a plus important au Sénégal que cette question qu’il juge plus politicienne que démocratique.
«Vous n’avez jamais entendu l’opposition parler de statut de l’opposition. Ni collectivement, ni individuellement», a-t-il déclaré.
Poursuivant, Decroix martèle : «Si le Président Sall veut respecter la Constitution en mettant en place ce qu’il faut pour que ça devienne une réalité, c’est tant mieux. Mais s’il compte sur cela pour diviser l’opposition, c’est peine perdue parce que ce n’est pas notre préoccupation».
S’agissant de celles-ci, Mamadou Diop Decroix liste l’emploi, l’école, la santé, entre autres. Car, juge-t-il, les élections législatives de 2014 ont déjà réglé la question : «on a déjà voté aux législatives. Il y a une majorité et une opposition à l’Assemblée nationale, le chef de l’opposition, c’est le chef du parti majoritaire dans l’opposition à l’Assemblée nationale. Si le Président Sall veut régler le problème, il sait parfaitement à quelle voie il peut passer pour le e faire», conclut-il.
«Vous n’avez jamais entendu l’opposition parler de statut de l’opposition. Ni collectivement, ni individuellement», a-t-il déclaré.
Poursuivant, Decroix martèle : «Si le Président Sall veut respecter la Constitution en mettant en place ce qu’il faut pour que ça devienne une réalité, c’est tant mieux. Mais s’il compte sur cela pour diviser l’opposition, c’est peine perdue parce que ce n’est pas notre préoccupation».
S’agissant de celles-ci, Mamadou Diop Decroix liste l’emploi, l’école, la santé, entre autres. Car, juge-t-il, les élections législatives de 2014 ont déjà réglé la question : «on a déjà voté aux législatives. Il y a une majorité et une opposition à l’Assemblée nationale, le chef de l’opposition, c’est le chef du parti majoritaire dans l’opposition à l’Assemblée nationale. Si le Président Sall veut régler le problème, il sait parfaitement à quelle voie il peut passer pour le e faire», conclut-il.
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