L’Assemblée générale du Syndicat démocratique des travailleurs de la santé et du secteur social avortée. Selon le porte-parole, l’hôpital a même engagé des policiers pour empêcher cette réunion qui devait se tenir à 13 heures. Cheikh Seck affirme qu’il a été convoqué par la police.
« On a convoqué cette Assemblée générale dans un environnement fermé parce qu’on a l’amphithéâtre de l’hôpital où on doit la tenir. Il fallait informer l’autorité, ce que nous avons eu à faire par courrier. Mais nous constatons que pour la troisième fois, à chaque fois que l’on veut organiser une Assemblée générale au niveau de l’hôpital, c’est la police qui nous convoque, on nous fait des brimades. Aujourd’hui, on a trouvé des policiers devant la porte de l’hôpital. Je disais que c’était dans le but de prévenir les troubles mais à ma plus grande surprise, je viens de recevoir une convocation venant du commissaire de Grand-Yoff. L’adjudant m’a trouvé devant mes malades et m’a dit que je suis convoqué à 11 heures. Celui qui m’a remis la convocation l’a amenée à 11h11, je lui ai dit de regarder sa montre et il a confirmé qu’il faisait 11h11. Je lui ai dit que j’ai accusé réception et que je m’occupe d’abord de mes malades avant de déférer à la convocation », rage le syndicaliste sur la Rfm.
« C’est (seulement) dans l’optique d’empêcher la tenue de l’Assemblée nationale », minimise-t-il toutefois.
Le service communication de l’hôpital soutient que le syndicat est fictif et que l’hôpital doit veiller à la tranquillité des malades en évitant le désordre. « On n’a pas empêché la tenue d’une Assemblée générale. On a juste été informé d’une intention de la tenir par un syndicat fictif. On ne peut donc pas l’autoriser », explique-t-il.
« On a convoqué cette Assemblée générale dans un environnement fermé parce qu’on a l’amphithéâtre de l’hôpital où on doit la tenir. Il fallait informer l’autorité, ce que nous avons eu à faire par courrier. Mais nous constatons que pour la troisième fois, à chaque fois que l’on veut organiser une Assemblée générale au niveau de l’hôpital, c’est la police qui nous convoque, on nous fait des brimades. Aujourd’hui, on a trouvé des policiers devant la porte de l’hôpital. Je disais que c’était dans le but de prévenir les troubles mais à ma plus grande surprise, je viens de recevoir une convocation venant du commissaire de Grand-Yoff. L’adjudant m’a trouvé devant mes malades et m’a dit que je suis convoqué à 11 heures. Celui qui m’a remis la convocation l’a amenée à 11h11, je lui ai dit de regarder sa montre et il a confirmé qu’il faisait 11h11. Je lui ai dit que j’ai accusé réception et que je m’occupe d’abord de mes malades avant de déférer à la convocation », rage le syndicaliste sur la Rfm.
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