«Je ne suis l’arme de personne. Je n’ai aucune ambition politique. Et je refuse d’être utilisé par les hommes politiques pour assouvir des ambitions politiques.» Ces mots ont été prononcés ce samedi par Clédor Sène qui a accordé un entretien exclusif à la chaine de télévision Sen Tv pour réagir à sa convocation par la Division des investigations criminelles (Dic). Celui qui avait été jugé et reconnu coupable du meurtre de Me Babacar Sèye dit avoir rompu le silence pour mettre en garde les hommes politiques qui tentent de l’utiliser dans leur combat. «Je sais que si je romps le silence, ça va cesser parce que je suis de taille à le faire», a martelé Clédor Sène.
Revenant sur sa convocation par la Division des investigations criminelles (Dic), Clédor Sène dit à qui veut l’entendre que «les éléments de la police savent qu’on les a mis sur une fausse piste». Aussi dénonce-t-il des informations distillées par le pouvoir pour l’accuser de vouloir poser des bombes dans différentes parties de la ville. «Donc, on m’a arrêté sur la base de fausses informations», dénonce-t-il. Mais il se réjouit : «La Dic, elle-même, m’a blanchi.» Pourtant, Clédor Sène ne semble pas se faire d’illusions. Puisqu’il ajoute : «J’ai des informations selon lesquelles je suis toujours dans le viseur. Ils veulent passer par ma personne pour atteindre d’autres personnes, mais cela ne passera pas.»
«Je vais leur montrer que je suis là…»
Interpellé sur les informations l’accusant d’avoir des liens avec de présumés terroristes, Clédor Sène se veut clair : «Le pouvoir de Macky Sall fait comme si le Sénégal est un département ou une région de la France. Ils veulent me présenter comme un jihadiste radical. C’est une communication qu’ils veulent vendre à la France pour prouver leur détermination à lutter contre le terrorisme.» Poursuivant, il révèle : «La police m’a dit que je veux poser des bombes pour faire croire aux Sénégalais que le terrorisme est une réalité au Sénégal. Mais c’est la communication du pouvoir qui risque d’attirer le terrorisme au Sénégal.» Aussi dénonce-t-il «l’attitude du Sénégal qui s’est rangé derrière la France dans sa lutte contre le terrorisme». «Il n’y a pas de terrorisme à gérer au Sénégal», dit-il. Avant d’accuser des agents de l’Etat qui travaillent dans le renseignement et qui sont derrière les informations qui l’accusent. «Heureusement, se réjouit Clédor Séne «Nous avons une police professionnelle».
Revenant sur sa convocation par la Division des investigations criminelles (Dic), Clédor Sène dit à qui veut l’entendre que «les éléments de la police savent qu’on les a mis sur une fausse piste». Aussi dénonce-t-il des informations distillées par le pouvoir pour l’accuser de vouloir poser des bombes dans différentes parties de la ville. «Donc, on m’a arrêté sur la base de fausses informations», dénonce-t-il. Mais il se réjouit : «La Dic, elle-même, m’a blanchi.» Pourtant, Clédor Sène ne semble pas se faire d’illusions. Puisqu’il ajoute : «J’ai des informations selon lesquelles je suis toujours dans le viseur. Ils veulent passer par ma personne pour atteindre d’autres personnes, mais cela ne passera pas.»
«Je vais leur montrer que je suis là…»
Interpellé sur les informations l’accusant d’avoir des liens avec de présumés terroristes, Clédor Sène se veut clair : «Le pouvoir de Macky Sall fait comme si le Sénégal est un département ou une région de la France. Ils veulent me présenter comme un jihadiste radical. C’est une communication qu’ils veulent vendre à la France pour prouver leur détermination à lutter contre le terrorisme.» Poursuivant, il révèle : «La police m’a dit que je veux poser des bombes pour faire croire aux Sénégalais que le terrorisme est une réalité au Sénégal. Mais c’est la communication du pouvoir qui risque d’attirer le terrorisme au Sénégal.» Aussi dénonce-t-il «l’attitude du Sénégal qui s’est rangé derrière la France dans sa lutte contre le terrorisme». «Il n’y a pas de terrorisme à gérer au Sénégal», dit-il. Avant d’accuser des agents de l’Etat qui travaillent dans le renseignement et qui sont derrière les informations qui l’accusent. «Heureusement, se réjouit Clédor Séne «Nous avons une police professionnelle».
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