Dans une déclaration faite ce mercredi 2 juillet devant la presse, Malick Ngom, président du Comité national de gestion de la lutte (CNG), est revenu en détail sur la suspension du lutteur Moustapha Senghor alias Siteu. Il a annoncé que des efforts sont en cours pour tenter de maintenir le combat très attendu contre Balla Gaye 2, prévu le 20 juillet prochain.
Malick Ngom, la suspension de Siteu ne découle pas d’un contrôle antidopage positif, mais d’un refus de se soumettre au test. « Conformément aux textes, un athlète qui refuse de faire un test est considéré comme dopé », a-t-il expliqué, précisant que Siteu et son manager Max Mbargane ont été notifiés de cette décision, avec un délai légal de 21 jours pour faire appel. « Aucun recours n’ayant été formulé dans ce délai, la sanction de deux ans est devenue effective ».
Le président du CNG a tenu à rappeler que cette décision relève exclusivement de l’Organisation nationale antidopage du Sénégal (ONADS), qui travaille directement avec les lutteurs, sans nécessairement passer par le CNG. « Nous ne sommes pas à l’origine des sanctions. L’ONADS est une agence autonome, et le Sénégal est signataire des conventions internationales en matière de lutte antidopage », a-t-il souligné.
Concernant la tenue du combat du 20 juillet, Malick Ngom se veut prudent mais ouvert. « Nous avons saisi des avocats, non pas pour défendre un lutteur suspendu ce n’est pas notre rôle mais pour explorer les voies légales permettant de préserver cette journée, compte tenu des investissements déjà engagés ». Il évoque notamment la possibilité de mesures conservatoires.
Malick Ngom appelle par ailleurs à plus de prudence dans la communication autour de cette affaire : « Il faut que chacun reste dans son rôle. Nous sommes tenus de respecter les textes. Mais nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour sauver ce combat ».
Malick Ngom, la suspension de Siteu ne découle pas d’un contrôle antidopage positif, mais d’un refus de se soumettre au test. « Conformément aux textes, un athlète qui refuse de faire un test est considéré comme dopé », a-t-il expliqué, précisant que Siteu et son manager Max Mbargane ont été notifiés de cette décision, avec un délai légal de 21 jours pour faire appel. « Aucun recours n’ayant été formulé dans ce délai, la sanction de deux ans est devenue effective ».
Le président du CNG a tenu à rappeler que cette décision relève exclusivement de l’Organisation nationale antidopage du Sénégal (ONADS), qui travaille directement avec les lutteurs, sans nécessairement passer par le CNG. « Nous ne sommes pas à l’origine des sanctions. L’ONADS est une agence autonome, et le Sénégal est signataire des conventions internationales en matière de lutte antidopage », a-t-il souligné.
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