«Que personne ne vienne m’appeler la prochaine fois pour ces conneries», tonne un vieux, de teint noir, d’à peine 1,60 mètre, la soixantaine bien sonnée, la tête couverte d’un bonnet blanc et le turban bien enroulé autour du coup.«Ils nous appellent pour des histoires. Nous ne connaissons même pas ceux qui étaient autour de la table et qui ont initié ce mouvement – Nioo Gui Fi Ba Tey-, lui emboîte un autre. «La prochaine fois, ils m’entendront», avertit un autre vieux «compagnon» du Président de la République qui se plaint d’avoir laissé son travail pour venir se présenter devant des gens qu’il ne connaît ni d’Adam ni d’Eve.
Il faut rappeler que tout au long de la rencontre, ils n’ont cessé d’interpeller les organisateurs : parlez en ouolof pour nous permettre de comprendre ce qui se dit», ne cessaient-ils de ressasser. «Il y aura la partie ouolof où vous pourrez intervenir», rétorquait M. Khouma, un membre des initiateurs qui explique que la priorité est aux journalistes. Il avait même souligné à l’endroit des journalistes qu’il n’y aurait pas d’interviews en aparté. Du coup, tous les participants étaient réduits à l’omerta.
Malheureusement, la partie ouolof ressemblera à la partie française. Les initiateurs reprendront la parole pour s’expliquer au grand dame des «vieux et vieilles» compagnons de Me Wade qui finiront par vider leur sac parce qu’étant été privés de parole. Pire, font-ils remarquer «nous ne savons pas ce qui se tramait dans cette salle».
Les nombreux appels au calme des uns et des autres n’y pouvaient rien face à la colère des «vieux». Encore moins le départ précipité, à bord de rutilantes voitures, juste à la fin de la rencontre, de ces «inventeurs» de ce mouvement qui laissent ces contestataires qui vont certainement rentrer à bord de « car rapide ou de ndiaga ndiaye ».
Il faut rappeler que tout au long de la rencontre, ils n’ont cessé d’interpeller les organisateurs : parlez en ouolof pour nous permettre de comprendre ce qui se dit», ne cessaient-ils de ressasser. «Il y aura la partie ouolof où vous pourrez intervenir», rétorquait M. Khouma, un membre des initiateurs qui explique que la priorité est aux journalistes. Il avait même souligné à l’endroit des journalistes qu’il n’y aurait pas d’interviews en aparté. Du coup, tous les participants étaient réduits à l’omerta.
Malheureusement, la partie ouolof ressemblera à la partie française. Les initiateurs reprendront la parole pour s’expliquer au grand dame des «vieux et vieilles» compagnons de Me Wade qui finiront par vider leur sac parce qu’étant été privés de parole. Pire, font-ils remarquer «nous ne savons pas ce qui se tramait dans cette salle».
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