Assistées par des armées sœurs, des organisations non gouvernementales, des organismes internationaux et bien d’autres experts, les forces armées congolaises affirment avoir bouclé l’opération d’urgence de dépollution. Le colonel Jean Eve Ala Koua en donne les résultats : « A ce jour, on a déjà détruit 16 tonnes exactement, de munitions, sur la base de trois rotations. Et ce travail va se poursuivre ».
Pour cette opération, Mpila et ses environs ont été subdivisés en quatre zones. Selon Michel Rathqueber, de l’ONG française Demeter, les actions sont allées au-delà de l’urgence : « Pour l’instant on travaille sur un rayon de cinq kilomètres. Donc il m’est arrivé d’aller sur les hauteurs de Brazzaville, où nous en avons encore trouvé. On est au-delà de l’urgence, puisqu’on nettoie aussi les résidus des trois dernières guerres, dont la dernière en 1997 ».
Après l’urgence vont intervenir des recherches approfondies, comme l’explique le colonel Jean-Robert Obargui, porte-parole des FAC : « Nous sommes à la deuxième étape, qui va commencer dès la semaine prochaine déjà. Et cette étape consiste, non seulement à localiser, mais à repérer ces engins et les détruire, pour certains sur place, et d’autres seront détruits à quelques soixante kilomètres de Brazzaville ».
La prochaine étape devrait prendre plus de temps et de moyens logistiques et financiers.
Source: RFI
Pour cette opération, Mpila et ses environs ont été subdivisés en quatre zones. Selon Michel Rathqueber, de l’ONG française Demeter, les actions sont allées au-delà de l’urgence : « Pour l’instant on travaille sur un rayon de cinq kilomètres. Donc il m’est arrivé d’aller sur les hauteurs de Brazzaville, où nous en avons encore trouvé. On est au-delà de l’urgence, puisqu’on nettoie aussi les résidus des trois dernières guerres, dont la dernière en 1997 ».
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