Brazzaville, le 8 mars 2012, des habitants récupèrent des objets personnels dans leurs habitations dévastées. © AFP/Patrick Fort
Pour les humanitaires, la phase d’urgence est terminée depuis plusieurs jours. Place, désormais, à l’assistance. L’assistance est celle que le gouvernement apporte aux milliers de sinistrés à travers l’allocation d’une prime de soutien de trois millions de francs CFA, comme le confirme Gilbert Ondogo, le ministre des Finances : « Au moment où je vous parle, il y a près de 2 000 familles qui ont été servies à raison de trois millions par famille pour un coût, donc, de six milliards. Il y a autant d’argent disponible qu’il y a des ayants droit ».
Qui doit réellement bénéficier de la prime ? Selon les critères établis : « Il s’agit de chaque famille, qui était sous un toit jusqu’au 4 mars à 8 heures, et qui a perdu ce toit, après les explosions », précise Gilbert Ondogo.
Il a dénoncé de nombreux cas de fraudes observés. A titre d’exemple, dans une parcelle de 400 mètres carrés, on a enregistré parfois jusqu’à vingt familles. Les fraudeurs ne seront pas payés, et une fois mis aux arrêts, ils seront traduits devant les tribunaux, a prévenu le gouvernement.
Le ministre Ondongo a rassuré les impatients qui ont manifesté le 26 mars, que personne ne sera délaissé : « Nous veillerons à ce que personne, mais alors personne, ne soit oublié. Nous repartirons dans les quartiers, pour être sûrs que parcelle après parcelle, chaque cas a été traité ».
La prime de soutien précède l’indemnisation dont les modalités sont en cours d’étude.
Source: RFI
Qui doit réellement bénéficier de la prime ? Selon les critères établis : « Il s’agit de chaque famille, qui était sous un toit jusqu’au 4 mars à 8 heures, et qui a perdu ce toit, après les explosions », précise Gilbert Ondogo.
Il a dénoncé de nombreux cas de fraudes observés. A titre d’exemple, dans une parcelle de 400 mètres carrés, on a enregistré parfois jusqu’à vingt familles. Les fraudeurs ne seront pas payés, et une fois mis aux arrêts, ils seront traduits devant les tribunaux, a prévenu le gouvernement.
Le ministre Ondongo a rassuré les impatients qui ont manifesté le 26 mars, que personne ne sera délaissé : « Nous veillerons à ce que personne, mais alors personne, ne soit oublié. Nous repartirons dans les quartiers, pour être sûrs que parcelle après parcelle, chaque cas a été traité ».
La prime de soutien précède l’indemnisation dont les modalités sont en cours d’étude.
Source: RFI
Autres articles
-
Narcotrafic: le Maroc extrade un chef présumé de réseau, la coopération judiciaire avec la France se renforce
-
Nigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement
-
Côte d’Ivoire: ouverture du procès de l'attaque jihadiste de Kafalo en juin 2020
-
Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique




Narcotrafic: le Maroc extrade un chef présumé de réseau, la coopération judiciaire avec la France se renforce


