Le chef de l’Etat a fait appel à tous les Sénégalais à un consensus national autour du terrorisme. Cet appel trouve un écho favorable chez ses partisans de la coalition Benno bokk yaakaar (Bby). En effet les partis membre de la coalition présidentielle déclarent adhérer à ce vœu qui est une nécessité dans ces moments, ont-ils déclaré à nos confrères de l’Enquête.
Selon Moussa Sarr, porte-parole de la Ligue démocratique, leur parti apporte un total soutien au Président de la République : «Dès lors que le terrorisme est une menace contre le monde entier, tous les citoyens sénégalais doivent se mobiliser pour lutter contre ce fléau. La question de la sécurité est une question autour de laquelle il nous faut bâtir un consensus fort. Nous sommes des politiques, mais nous ne pourrons pas exercer nos activités si à l’intérieur du pays, la sécurité n’est pas assurée».
Cet avis est partagé par son homologue du Parti socialiste, Abdoulaye Wilane qui déclare qu’«il y a des questions fondamentales qui doivent faire l’objet d’un consensus sincère, car il y va de l’unité nationale, de l’intégrité du territoire, du caractère démocratique et républicain de notre pays, de la diplomatie et surtout de la question du bon voisinage. Il n’y a de démocratie et de projet social que dans la paix. Tout ce qui aide à cette paix et en commençant par le respect mutuel, l’observation stricte des comportements qui incarnent la liberté et les droits de humains, est à encourager par tous les acteurs politiques et de la société civile».
Mais l’opposition, même si elle adhère à cet appel, recommande certaines conditions à respecter par le chef de l’Etat.
Sur la forme, le porte-parole de Rewmi, Thierno Bocoum partage les propos de ses adversaires, mais trouvent qu’il est primordial que la définition du fond se fasse avec l’apport des autres partis politiques : «L’opposition a toujours été ouverte à un consensus sur les questions essentielles du pays mais c’est le régime qui a toujours eu une position unilatérale. Sur les questions essentielles du pays, il n’y a même pas lieu à instaurer une divergence. Mais c’est au président de la République de changer de fusil d’épaule, d’autant que l’opposition n’est impliquée en rien depuis que le président est là ni sur la gestion du pays, ni sur le Programme Sénégal émergent », soutient-il.
Selon Moussa Sarr, porte-parole de la Ligue démocratique, leur parti apporte un total soutien au Président de la République : «Dès lors que le terrorisme est une menace contre le monde entier, tous les citoyens sénégalais doivent se mobiliser pour lutter contre ce fléau. La question de la sécurité est une question autour de laquelle il nous faut bâtir un consensus fort. Nous sommes des politiques, mais nous ne pourrons pas exercer nos activités si à l’intérieur du pays, la sécurité n’est pas assurée».
Cet avis est partagé par son homologue du Parti socialiste, Abdoulaye Wilane qui déclare qu’«il y a des questions fondamentales qui doivent faire l’objet d’un consensus sincère, car il y va de l’unité nationale, de l’intégrité du territoire, du caractère démocratique et républicain de notre pays, de la diplomatie et surtout de la question du bon voisinage. Il n’y a de démocratie et de projet social que dans la paix. Tout ce qui aide à cette paix et en commençant par le respect mutuel, l’observation stricte des comportements qui incarnent la liberté et les droits de humains, est à encourager par tous les acteurs politiques et de la société civile».
Mais l’opposition, même si elle adhère à cet appel, recommande certaines conditions à respecter par le chef de l’Etat.
Sur la forme, le porte-parole de Rewmi, Thierno Bocoum partage les propos de ses adversaires, mais trouvent qu’il est primordial que la définition du fond se fasse avec l’apport des autres partis politiques : «L’opposition a toujours été ouverte à un consensus sur les questions essentielles du pays mais c’est le régime qui a toujours eu une position unilatérale. Sur les questions essentielles du pays, il n’y a même pas lieu à instaurer une divergence. Mais c’est au président de la République de changer de fusil d’épaule, d’autant que l’opposition n’est impliquée en rien depuis que le président est là ni sur la gestion du pays, ni sur le Programme Sénégal émergent », soutient-il.
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