Des dizaines milliers de militants, mais aussi tous les cadres du parti, ainsi que les responsables du FPI pro-Gbagbo, sont venus écouter un discours très offensif d’Henri Konan Bédié.
Invoquant les mânes de Félix Houphouet-Boigny et des pères fondateurs, Henri Konan Bédié a prononcé un discours de campagne, de conquête même, avec dans son viseur le régime d’Alassane Ouattara.
« Réveillons-nous pour dire non à cette dictature rampante. Soyons forts, l’échec n’est pas une option envisagée, car unis et déterminés nous disposons de moyens légaux et légitimes pour reconquérir le pouvoir d’État. »
Conquérir le pouvoir et mener la réconciliation, un leitmotiv dans l’alliance conclue fin juillet entre Bédié et Gbagbo lors de leur rencontre à Bruxelles.
« Nous voulons la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, le retour de tous les exilés civils et politiques y compris Laurent Gbagbo et Blé Goudé. »
Les militants du FPI Gbagbo sont là par millier. Les barons du parti aussi, emmené par leur secrétaire général Assoa Adou.
« Président Bédié Merci ! Mille fois merci ! Merci pour la trajectoire de la réconciliation et de la paix que vous avez acceptée de tracer avec le président Laurent Gbagbo dont vous n’avez jamais cessé de réclamer le retour parmi nous en Côte d’Ivoire. »
C’est ensuite Soro Kanigui du RACI qui monte à la tribune pour plaider la cause de Guillaume Soro, dans un numéro d’équilibriste qui ne semble pas convaincre les responsables du FPI aux visages fermés.
Alors, Konan Bédié, 86 ans en 2020, doit-il être le candidat du parti ? Réponse de deux militantes.
Invoquant les mânes de Félix Houphouet-Boigny et des pères fondateurs, Henri Konan Bédié a prononcé un discours de campagne, de conquête même, avec dans son viseur le régime d’Alassane Ouattara.
« Réveillons-nous pour dire non à cette dictature rampante. Soyons forts, l’échec n’est pas une option envisagée, car unis et déterminés nous disposons de moyens légaux et légitimes pour reconquérir le pouvoir d’État. »
Conquérir le pouvoir et mener la réconciliation, un leitmotiv dans l’alliance conclue fin juillet entre Bédié et Gbagbo lors de leur rencontre à Bruxelles.
« Nous voulons la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, le retour de tous les exilés civils et politiques y compris Laurent Gbagbo et Blé Goudé. »
Les militants du FPI Gbagbo sont là par millier. Les barons du parti aussi, emmené par leur secrétaire général Assoa Adou.
« Président Bédié Merci ! Mille fois merci ! Merci pour la trajectoire de la réconciliation et de la paix que vous avez acceptée de tracer avec le président Laurent Gbagbo dont vous n’avez jamais cessé de réclamer le retour parmi nous en Côte d’Ivoire. »
C’est ensuite Soro Kanigui du RACI qui monte à la tribune pour plaider la cause de Guillaume Soro, dans un numéro d’équilibriste qui ne semble pas convaincre les responsables du FPI aux visages fermés.
Alors, Konan Bédié, 86 ans en 2020, doit-il être le candidat du parti ? Réponse de deux militantes.
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