
Le président nigérian Muhammadu Buhari a reçu un briefing sur les efforts de médiation menés par son prédécesseur, Goodluck Jonathan.
Le 18 avril, des soldats ont défilé dans la capitale du Mali, Bamako, et ont arrêté le président Ibrahim Boubacar Keïta.
Des milliers de personnes sont ensuite descendues dans les rues de la capitale, Bamako, pour célébrer le coup d'État, qui a suscité une condamnation mondiale.
Au début de l'année, M. Keïta a été confronté à de grandes manifestations pour corruption, mauvaise gestion de l'économie et élections législatives contestées.
La colère des troupes à propos de la solde et du conflit avec les djihadistes dans le nord du pays, qui a vu des dizaines de soldats tués au cours de l'année écoulée, s'est également manifestée.
Une mission de médiation de la CEDEAO s'est achevée lundi sans accord sur les conditions d'une transition. Mais elle a exprimé l'espoir que la junte accède à sa demande d'une transition limitée à environ un an ou moins et conduite par une personnalité civile, et non pas militaire. Les chefs d'Etat de la communauté ouest-africaine doivent examiner à nouveau la situation lors d'un sommet prévu vendredi.
Le 18 avril, des soldats ont défilé dans la capitale du Mali, Bamako, et ont arrêté le président Ibrahim Boubacar Keïta.
Des milliers de personnes sont ensuite descendues dans les rues de la capitale, Bamako, pour célébrer le coup d'État, qui a suscité une condamnation mondiale.
Au début de l'année, M. Keïta a été confronté à de grandes manifestations pour corruption, mauvaise gestion de l'économie et élections législatives contestées.
La colère des troupes à propos de la solde et du conflit avec les djihadistes dans le nord du pays, qui a vu des dizaines de soldats tués au cours de l'année écoulée, s'est également manifestée.
Une mission de médiation de la CEDEAO s'est achevée lundi sans accord sur les conditions d'une transition. Mais elle a exprimé l'espoir que la junte accède à sa demande d'une transition limitée à environ un an ou moins et conduite par une personnalité civile, et non pas militaire. Les chefs d'Etat de la communauté ouest-africaine doivent examiner à nouveau la situation lors d'un sommet prévu vendredi.
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