Dès minuit, des restaurants, des bars mais aussi des magasins ont enfin rouvert leurs portes à Melbourne, et certains habitants se sont levés très tôt ce mercredi matin pour s’assurer de pouvoir prendre un café en terrasse.
Emily, qui peut à nouveau sortir de chez elle aussi souvent qu’elle le souhaite, a déjà beaucoup de projets. « Mon agenda est déjà plein ! Je dois prendre un verre avec des amis, ma famille vient nous rendre visite, explique-t-elle par téléphone. J’ai des séances de manucure et de pédicure, puis on va aussi aller faire du shopping avec mes filles ! »
Une « résurrection » après un « sacrifice »
Le programme est beaucoup moins chargé pour Thomas, mais il n’en est pas moins alléchant. « Je vais aller dans le centre-ville de Melbourne, et j’ai envie juste d’aller voir ça, cette ambiance, cette résurrection », explique le Français qui a quitté Marseille il y a deux ans pour s’installer à Melbourne.
Ce très long confinement qui vient de se terminer l’a marqué moralement, mais Il y voit malgré tout un mal nécessaire : « Oui, c’est difficile, mais c’est un sacrifice de plusieurs semaines qui permet de retrouver une vie normale et de maîtriser cette maladie. »
L’épidémie à Melbourne étant désormais sous contrôle, l’Australie semble pour l’instant sortie d’affaire. Mais le gouvernement reste malgré tout prudent : les frontières internationales, qui sont fermées depuis le mois de mars, pourraient le rester jusqu’à la fin de l’année prochaine.
Emily, qui peut à nouveau sortir de chez elle aussi souvent qu’elle le souhaite, a déjà beaucoup de projets. « Mon agenda est déjà plein ! Je dois prendre un verre avec des amis, ma famille vient nous rendre visite, explique-t-elle par téléphone. J’ai des séances de manucure et de pédicure, puis on va aussi aller faire du shopping avec mes filles ! »
Une « résurrection » après un « sacrifice »
Le programme est beaucoup moins chargé pour Thomas, mais il n’en est pas moins alléchant. « Je vais aller dans le centre-ville de Melbourne, et j’ai envie juste d’aller voir ça, cette ambiance, cette résurrection », explique le Français qui a quitté Marseille il y a deux ans pour s’installer à Melbourne.
Ce très long confinement qui vient de se terminer l’a marqué moralement, mais Il y voit malgré tout un mal nécessaire : « Oui, c’est difficile, mais c’est un sacrifice de plusieurs semaines qui permet de retrouver une vie normale et de maîtriser cette maladie. »
L’épidémie à Melbourne étant désormais sous contrôle, l’Australie semble pour l’instant sortie d’affaire. Mais le gouvernement reste malgré tout prudent : les frontières internationales, qui sont fermées depuis le mois de mars, pourraient le rester jusqu’à la fin de l’année prochaine.
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