Depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus, plus de 40 000 soignants ont été infectés, selon le résident de la République, Cyril Ramaphosa. Et le personnel de santé commence à être épuisé et débordé par l’ampleur de cette deuxième vague, selon Cassim Lekhoathi, secrétaire général du syndicat des infirmiers DENOSA (Democratic nursing organisation of South Africa) :
« Cette deuxième vague de Covid-19 a vraiment mis sous pression les travailleurs des hôpitaux. Ça nous a pris par surprise, et nous n’étions pas encore prêts. Il y a un manque de ressources, un manque de personnel, ainsi que d’équipement adéquat. »
Les plus grands groupes hospitaliers privés ont déjà annoncé qu’ils commençaient à manquer de lits en soins intensifs, comme lors de la première vague. Les nouvelles mesures annoncées par Cyril Ramaphosa étaient donc plus que nécessaires, selon Khaya Xaba, du syndicat NEHAWU (National education, health and allied workers' union) :
« Nous nous réjouissons des nouvelles restrictions, en particulier de l’interdiction de la vente d’alcool, surtout pendant cette saison des fêtes, car la consommation fait augmenter les attaques par armes blanches ou à feu, et les accidents de la route. Nous saluons aussi la décision de fermer les plages et d’étendre le couvre-feu. Nous pensons qu’avec ces mesures, si elles sont bien appliquées, nous allons pouvoir mieux nous battre contre le virus. »
Dans les régions les plus touchées, la population est encouragée à se rendre dans les hôpitaux publics uniquement en cas d’urgence.
« Cette deuxième vague de Covid-19 a vraiment mis sous pression les travailleurs des hôpitaux. Ça nous a pris par surprise, et nous n’étions pas encore prêts. Il y a un manque de ressources, un manque de personnel, ainsi que d’équipement adéquat. »
Les plus grands groupes hospitaliers privés ont déjà annoncé qu’ils commençaient à manquer de lits en soins intensifs, comme lors de la première vague. Les nouvelles mesures annoncées par Cyril Ramaphosa étaient donc plus que nécessaires, selon Khaya Xaba, du syndicat NEHAWU (National education, health and allied workers' union) :
« Nous nous réjouissons des nouvelles restrictions, en particulier de l’interdiction de la vente d’alcool, surtout pendant cette saison des fêtes, car la consommation fait augmenter les attaques par armes blanches ou à feu, et les accidents de la route. Nous saluons aussi la décision de fermer les plages et d’étendre le couvre-feu. Nous pensons qu’avec ces mesures, si elles sont bien appliquées, nous allons pouvoir mieux nous battre contre le virus. »
Dans les régions les plus touchées, la population est encouragée à se rendre dans les hôpitaux publics uniquement en cas d’urgence.
Autres articles
-
RDC - Ouverture du procès de Joseph Kabila : l’audience renvoyée au 31 Juillet
-
Côte d'Ivoire: le PDCI-RDA dénonce l’arrestation de six militants
-
Mali: les dessous de la saisie d'équipements destinés aux rebelles du FLA, grâce au Niger et au Togo
-
République dominicaine : manifestation contre la régularisation d’étrangers
-
Centrafrique : la CPI condamne Alfred Yekatom et Patrice-Édouard Ngaïssona à 15 et 12 ans de prison