La mauvaise qualité des semences dont se plaignent les paysans ne se limite pas uniquement à Kaolack. A Kaffrine, certains ont revendu leur part, alors que d'autres ont préféré boycotter.
Les cultivateurs sont quasi unanimes dans les départements de Kaffrine et Birkelane où certains ont pris les semences, faute de mieux ou pour en faire un autre usage. Au moment où d'autres ont préféré ne pas y toucher.
«C'est une très mauvaise qualité. Mais que faire ? Nous n'avons pas d'alternative. C'est comme quelqu'un qui tombe dans un puits, même si vous lui tendez un couteau, il s'y agrippe. Une infime partie pourra être semée. Pour le reste, ce sera pour la cuisson », soutient dans les colonnes du journal «Enquête», un jeune père de famille, à Kathiote, chef-lieu de commune.
Si l'on en croit les paysans, les graines sont de petite taille, elles ne sont pas pleines dans la coque. Ce qui fait que beaucoup d'entre eux préfèrent ne pas les semer pour ne pas prendre de risques. Une bonne partie de ceux qui sont partis encaisser leur quota, l'ont fait en ayant une autre idée dans la tête.
L'Etat les cédant à raison de 150 F le kilo, certains paysans ont préféré récupérer puis revendre à un prix supérieur pour aller acheter d'autres graines jugées de meilleure qualité.
Les cultivateurs sont quasi unanimes dans les départements de Kaffrine et Birkelane où certains ont pris les semences, faute de mieux ou pour en faire un autre usage. Au moment où d'autres ont préféré ne pas y toucher.
«C'est une très mauvaise qualité. Mais que faire ? Nous n'avons pas d'alternative. C'est comme quelqu'un qui tombe dans un puits, même si vous lui tendez un couteau, il s'y agrippe. Une infime partie pourra être semée. Pour le reste, ce sera pour la cuisson », soutient dans les colonnes du journal «Enquête», un jeune père de famille, à Kathiote, chef-lieu de commune.
Si l'on en croit les paysans, les graines sont de petite taille, elles ne sont pas pleines dans la coque. Ce qui fait que beaucoup d'entre eux préfèrent ne pas les semer pour ne pas prendre de risques. Une bonne partie de ceux qui sont partis encaisser leur quota, l'ont fait en ayant une autre idée dans la tête.
L'Etat les cédant à raison de 150 F le kilo, certains paysans ont préféré récupérer puis revendre à un prix supérieur pour aller acheter d'autres graines jugées de meilleure qualité.
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