
Tout comme l'autopsie, le Procureur de Ziguinchor parle d'une mort par arme blanche et non par balle de Idrissa Goudiaby, décédé, le 17 juin au cours du rassemblant non autorisé de la coalition Yewwi Askan Wi.
"L'expertise médico-légale réalisée le 19 juin 2022 a conclu à une mort violente par choc hémorragique suite à une plaie pénétrante du cou causée par une arme blanche contondante", lit-on dans le communiqué du parquet de Ziguinchor.
Le document retrace les faits qui ont conduit à la mort d'homme à Ziguinchor. "Le 17 juin 2022. le Commissariat Central de Ziguinchor a été informé du décès au cours de la manifestation du même jour du sieur idrissa GOUDIABY. Ce dernier aurait été touché au cou par balle, d'après le groupe de manifestants qui ont procédé à son évacuation. Un transport effectué à la morgue du Centre Hospitalier Régional de Ziguinchor a permis aux enquêteurs de constater une blessure béante sur le côté droit du cou".
La même source d'indiquer que "suivant réquisition à personne qualifiée en date du 18 juin 2022, un médecin légiste a été requis à l'effet de pratiquer une autopsie en vue de déterminer les causes du décès et d'établir un rapport sur les résultats de ses constatations."
Le parquet informe par ailleurs qu' une enquête est ouverte pour déterminer les "circonstances de cette perte en vie humaine et identifier le ou les auteurs en vue de leur traduction devant les juridictions compétentes. Toute personne dont la déposition s'avérera nécessaire à la manifestation de la vérité sera entendue."
La famille de la victime persiste sur la thèse de la mort par balle
A noter que la famille de la victime s'est exprimée par voie de presse. Réfutant ainsi les résultats de l'autopsie qui soutient que Idrissa Goudiaby est décédé par arme blanche. D’après elle, Idrissa Goudiaby serait victime d’une blessure par arme à feu lors de la manifestation. Elle réclame une contre-expertise.
"L'expertise médico-légale réalisée le 19 juin 2022 a conclu à une mort violente par choc hémorragique suite à une plaie pénétrante du cou causée par une arme blanche contondante", lit-on dans le communiqué du parquet de Ziguinchor.
Le document retrace les faits qui ont conduit à la mort d'homme à Ziguinchor. "Le 17 juin 2022. le Commissariat Central de Ziguinchor a été informé du décès au cours de la manifestation du même jour du sieur idrissa GOUDIABY. Ce dernier aurait été touché au cou par balle, d'après le groupe de manifestants qui ont procédé à son évacuation. Un transport effectué à la morgue du Centre Hospitalier Régional de Ziguinchor a permis aux enquêteurs de constater une blessure béante sur le côté droit du cou".
La même source d'indiquer que "suivant réquisition à personne qualifiée en date du 18 juin 2022, un médecin légiste a été requis à l'effet de pratiquer une autopsie en vue de déterminer les causes du décès et d'établir un rapport sur les résultats de ses constatations."
Le parquet informe par ailleurs qu' une enquête est ouverte pour déterminer les "circonstances de cette perte en vie humaine et identifier le ou les auteurs en vue de leur traduction devant les juridictions compétentes. Toute personne dont la déposition s'avérera nécessaire à la manifestation de la vérité sera entendue."
La famille de la victime persiste sur la thèse de la mort par balle
A noter que la famille de la victime s'est exprimée par voie de presse. Réfutant ainsi les résultats de l'autopsie qui soutient que Idrissa Goudiaby est décédé par arme blanche. D’après elle, Idrissa Goudiaby serait victime d’une blessure par arme à feu lors de la manifestation. Elle réclame une contre-expertise.
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