«Sans avertissement, la Direction de la surveillance et du contrôle de l’occupation des sols (DSCOS) a décidé de m’expulser de chez moi et de démolir ma maison. Laquelle maison a été acquise légalement en 2002, et dont la construction s’est achevée e 2012», a-t-elle déploré au bout du fil.
Selon elle, cet acte qu’elle qualifie d’odieux a été orchestré par «l’inspecteur général Mamadou Moustapha Samb Tall, et Oumar Samb qui habite près de chez mois et qui est devenu propriétaire depuis 2011».
A l’en croire, une forte connotation politique pèse sur ce dossier d’autant plus que, indique-t-elle, « je ne vois pas comment un citoyen lambda peut mobiliser une centaine de gendarmes parce qu’actuellement, 10 véhicules sont stationnées devant la porte m’interdisant même de prendre contact avec la presse ».
Ne sachant pas à quel saint se vouer, M. Bousso se demande où sa maman «qui doit venir de Saint-Louis aujourd’hui va loger ? Et mon enfant qui doit revenir de l’école, comment je ferai avec ça ?»
Et, déplore l’opposante, cette action ne contribue pas à la pacification de l’espace politique d’autant plus qu’elle est survenue au moment où le président de la République appelait à un dialogue politique, dialogue auquel nous avions décidé de rejoindre».
Maïmouna Bousso d’appeler le chef de l’Etat à revenir à la raison, et prie pour que sa main ne soit pas derrière son expulsion, car autrement, ce serait extrêmement dangereux.
Nous avons tenté de joindre sans résultats la DSCOS et les sieurs cités sans résultats.
Selon elle, cet acte qu’elle qualifie d’odieux a été orchestré par «l’inspecteur général Mamadou Moustapha Samb Tall, et Oumar Samb qui habite près de chez mois et qui est devenu propriétaire depuis 2011».
A l’en croire, une forte connotation politique pèse sur ce dossier d’autant plus que, indique-t-elle, « je ne vois pas comment un citoyen lambda peut mobiliser une centaine de gendarmes parce qu’actuellement, 10 véhicules sont stationnées devant la porte m’interdisant même de prendre contact avec la presse ».
Ne sachant pas à quel saint se vouer, M. Bousso se demande où sa maman «qui doit venir de Saint-Louis aujourd’hui va loger ? Et mon enfant qui doit revenir de l’école, comment je ferai avec ça ?»
Et, déplore l’opposante, cette action ne contribue pas à la pacification de l’espace politique d’autant plus qu’elle est survenue au moment où le président de la République appelait à un dialogue politique, dialogue auquel nous avions décidé de rejoindre».
Maïmouna Bousso d’appeler le chef de l’Etat à revenir à la raison, et prie pour que sa main ne soit pas derrière son expulsion, car autrement, ce serait extrêmement dangereux.
Nous avons tenté de joindre sans résultats la DSCOS et les sieurs cités sans résultats.
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