La Commission nationale des droits de l’homme (Cndh) dirigée par Amsatou Sow Sidibé a adressé un courrier au juge d’instruction concernant la demande de liberté provisoire de Farba Ngom. La fuite de ce courrier a été dénoncé avec vigueur par la Cndh.
Selon un communiqué dont Les Échos détient copie, la Cndh qualifie cette divulgation « d’infraction passible de poursuite judiciaire ». Pour garantir les droits fondamentaux des personnes concernées, l’institution rappelle que toutes les démarches auprès des autorités se font « de manière strictement confidentielle ».
A ce sujet, la Cndh rappelle que la publication d’une correspondance confidentielle porte atteinte non seulement à l’institution mais aussi « aux victimes » concernées. « nos actions ne deviennent publiques que dans le cadre du rapport annuel remis au président de la République ».
L’institution a profité de cette note pour mettre en lumière sa mission qui est régie par l’article 4 de la loi qui la crée. En effet, elle consiste à prévenir, promouvoir et protéger les droits humains.
Dans cette logique, la Cndh a émis des avis et recommandations vis-à-vis des autorités. Ces démarches reposent sur un principe intangible de confidentialité sans lequel « le respect de la dignité et des droits fondamentaux ne saurait être garanti ».
L’institution a également citer ses récents travaux sur la loi d’amnistie, qui ont abouti à neuf recommandations dont la création d’une commission d’indemnisations, des victimes pour rappeler son attachement indéfectible à l’Etat de droit.
Au terme de cette note, la Cndh a salué la volonté des nouvelles autorités à renforcer son indépendance à travers un projet de loi élargissant son mandat. C’est un signal fort de la détermination à faire des droits humains « un pilier central de la démocratie sénégalaise », a conclu la Cndh.
Selon un communiqué dont Les Échos détient copie, la Cndh qualifie cette divulgation « d’infraction passible de poursuite judiciaire ». Pour garantir les droits fondamentaux des personnes concernées, l’institution rappelle que toutes les démarches auprès des autorités se font « de manière strictement confidentielle ».
A ce sujet, la Cndh rappelle que la publication d’une correspondance confidentielle porte atteinte non seulement à l’institution mais aussi « aux victimes » concernées. « nos actions ne deviennent publiques que dans le cadre du rapport annuel remis au président de la République ».
L’institution a profité de cette note pour mettre en lumière sa mission qui est régie par l’article 4 de la loi qui la crée. En effet, elle consiste à prévenir, promouvoir et protéger les droits humains.
Dans cette logique, la Cndh a émis des avis et recommandations vis-à-vis des autorités. Ces démarches reposent sur un principe intangible de confidentialité sans lequel « le respect de la dignité et des droits fondamentaux ne saurait être garanti ».
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