Les ex-agents d’Air Afrique regroupés au sein du collectif du Personnel Navigant et de Cabine (PNC) sénégalaise, réclament la bagatelle somme de 500 millions de F CFA à l’Etat du Sénégal. «Un fonds spécial a été mis en place en 2005. Et en 2007, le ministre des Transports aériens d’alors avait initié un processus de paiement des droits. Ce processus suivait son cours avec pour objectif principal, le paiement en 2014 du solde tout compte de tous les PNC sénégalais en activité sur la plateforme aéroportuaire de Dakar, au moment de la liquidation», explique leur porte-parole.
Adams Diouf bat en brèche la déclaration du Premier ministre, Mahammad Dionne lors de son passage à l’Assemblée nationale en mai dernier, faisant état du paiement intégral de leurs indemnisations.
«Le processus c’était de payer progressivement c’est-à-dire commencer par les petits montants jusqu’à apurement total du passif social malheureusement en 2013, ils ont procédé à un décaissement qui couvrait totalement le solde, il ne restait plus que quelques bribes peut-être des gens à qui il manquait deux (2), un (1) million mais c’était notre tour à nous hôtesses et stewards : Ceux qui travaillaient dans les avions qui devaient récupérer leurs soldes tout compris. Mais, ils n’ont pas réagi, on s’est dit que peut-être, qu’ils n’étaient pas prêts. On les attendait tout simplement et voilà qu’en 2017, nous apprenons à notre grande surprise, que nous avions été payés tous et c’est pour cela que nous réagissons», attaque-t-elle.
Et de poursuivre : «Depuis 2014, à la place du solde tout compte, on ne nous donne que 300.000 F CFA à chaque Korité et Tabaski. Et parfois, le montant peut aller jusqu’à 350.000 F CFA. Et aujourd’hui, nous sommes dans l’ordre de quatre (4) millions de F CFA que nous avons consommé individuellement sans le sentir. Et, maintenant, ils nous doivent environs 500 millions de F CFA».
Adams Diouf bat en brèche la déclaration du Premier ministre, Mahammad Dionne lors de son passage à l’Assemblée nationale en mai dernier, faisant état du paiement intégral de leurs indemnisations.
«Le processus c’était de payer progressivement c’est-à-dire commencer par les petits montants jusqu’à apurement total du passif social malheureusement en 2013, ils ont procédé à un décaissement qui couvrait totalement le solde, il ne restait plus que quelques bribes peut-être des gens à qui il manquait deux (2), un (1) million mais c’était notre tour à nous hôtesses et stewards : Ceux qui travaillaient dans les avions qui devaient récupérer leurs soldes tout compris. Mais, ils n’ont pas réagi, on s’est dit que peut-être, qu’ils n’étaient pas prêts. On les attendait tout simplement et voilà qu’en 2017, nous apprenons à notre grande surprise, que nous avions été payés tous et c’est pour cela que nous réagissons», attaque-t-elle.
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