Réagissant aux allégations du Trésorier, le Secrétaire Général déclare d’emblée : « Je confirme le retrait » de la somme de 30 millions de francs. Il explique, via un communiqué daté du 27 septembre, que cette décision a été rendue nécessaire en raison du « refus d'exécuter des dépenses budgétisées ordonnées par le SG dûment constaté dans un PV d'huissier ».
Selon lui, la crise trouve son origine dans un blocage systématique des dépenses par le Trésorier. Il décrit une dégradation progressive de la situation : « Le siège est resté près de deux mois sans internet. Le Trésorier a délibérément refusé depuis fin juillet de s'acquitter correctement de son rôle. L'objectif étant très clair: bloquer le syndicat et empêcher la tenue du Congrès ».
Les conséquences de ce blocage, avance-t-il, ont été directes et dommageables pour le fonctionnement de l’institution : « C'est ainsi qu'à la fin du mois d'août, jusqu'au 05 Septembre, le personnel n'a pu être payé, les factures n'ont pas été réglées. Mêmes des dépenses sociales n'ont pu être honorées ».
Pour légitimer son action, le Secrétaire Général s’appuie sur les textes régissant le syndicat, citant « L'article 16 du règlement intérieur [qui] dit expressément: Le SG est le responsable moral de l'organisation... et ordonne toutes les dépenses du syndicat ». Fort de cette prérogative, il affirme avoir « pris nos responsabilités en changeant le trésorier jusqu'alors délégataire par son adjoint conformément aux dispositions statutaires et réglementaires ».
Enfin, il justifie le montant important du retrait par des besoins précis : « Le Conseil syndical avait voté un budget de 25.000.000f pour le Congrès. Nous y avons ajouté 5.000.000f pour le fonctionnement du directoire jusqu'à la fin du mandat ».
Il tente de rassurer tous les membres en garantissant que « Chaque franc dépensé sera justifié ».
Selon lui, la crise trouve son origine dans un blocage systématique des dépenses par le Trésorier. Il décrit une dégradation progressive de la situation : « Le siège est resté près de deux mois sans internet. Le Trésorier a délibérément refusé depuis fin juillet de s'acquitter correctement de son rôle. L'objectif étant très clair: bloquer le syndicat et empêcher la tenue du Congrès ».
Les conséquences de ce blocage, avance-t-il, ont été directes et dommageables pour le fonctionnement de l’institution : « C'est ainsi qu'à la fin du mois d'août, jusqu'au 05 Septembre, le personnel n'a pu être payé, les factures n'ont pas été réglées. Mêmes des dépenses sociales n'ont pu être honorées ».
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