Les deux parties au dialogue, l’Union pour la République, parti au pouvoir, et la délégation de la coalition des 14 partis de l’opposition ont aussitôt après l’ouverture, commencé les discussions.
Très rapidement, ils ont admis la participation du gouvernement au dialogue, participation que récusait préalablement l’opposition. Aussitôt décidé, aussitôt fait. Les ministres de la Justice, de la Sécurité, de l’Administration territoriale et celui de la Fonction publique ont rejoint la table des négociations.
Journée-marathon
En fin de journée, le président ghanéen est revenu de la présidence où il a rencontré son homologue togolais. Nana Akufo-Addo, le facilitateur ghanéen, est reparti tard ce lundi 19 février après cette longue journée de discussion. Sur les mesures d’apaisement, on retiendra la libération de 45 personnes. L’annonce n’a pas encore été faite mais elle est actée après une rencontre entre le facilitateur ghanéen et le président togolais.
Les préliminaires passés, les pourparlers ont abordé la question de fond, le retour à la Constitution de 1992. « La réunion a examiné les propositions de retour à la Constitution de 1992 et diverses interventions ont été faites des deux côtés, rapporte l'ambassadeur Daniel Osseyi.Pour conclure, il a été décidé de reporter nos délibérations à 14 au 23 février ».
Cette journée-marathon faite de plénières et de suspensions, de discussions bilatérales entre parti et pouvoir, facilitateur et coalition, se conclut sur un résultat mitigé. Nana Akufo Addo avait prévenu à l’ouverture qu'il n'avait pas de baguette magique et que la solution viendrait des Togolais pour le développement de leur pays.
Très rapidement, ils ont admis la participation du gouvernement au dialogue, participation que récusait préalablement l’opposition. Aussitôt décidé, aussitôt fait. Les ministres de la Justice, de la Sécurité, de l’Administration territoriale et celui de la Fonction publique ont rejoint la table des négociations.
Journée-marathon
En fin de journée, le président ghanéen est revenu de la présidence où il a rencontré son homologue togolais. Nana Akufo-Addo, le facilitateur ghanéen, est reparti tard ce lundi 19 février après cette longue journée de discussion. Sur les mesures d’apaisement, on retiendra la libération de 45 personnes. L’annonce n’a pas encore été faite mais elle est actée après une rencontre entre le facilitateur ghanéen et le président togolais.
Les préliminaires passés, les pourparlers ont abordé la question de fond, le retour à la Constitution de 1992. « La réunion a examiné les propositions de retour à la Constitution de 1992 et diverses interventions ont été faites des deux côtés, rapporte l'ambassadeur Daniel Osseyi.Pour conclure, il a été décidé de reporter nos délibérations à 14 au 23 février ».
Cette journée-marathon faite de plénières et de suspensions, de discussions bilatérales entre parti et pouvoir, facilitateur et coalition, se conclut sur un résultat mitigé. Nana Akufo Addo avait prévenu à l’ouverture qu'il n'avait pas de baguette magique et que la solution viendrait des Togolais pour le développement de leur pays.
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