La lutte pour le pouvoir semble obnubiler la classe politique sénégalaise laquelle au fur et à mesure que les échéances électorales du 30 juillet se rapprochent, multiplie les discours va-t-en guerre qui alourdissent le climat, faisant régner la suspicion chez le Sénégalais lambda.
En effet, jouer à se faire peur semble être le sport favori des hommes politiques sénégalais qui n’hésitent pas à se servir de la moindre brèche pour s’y engouffrer et de rappeler de la pire des manières aux sénégalais leur existence.
Le dernier prétexte est le projet de loi portant modification de l’article L78 du Code électorale qui constitue actuellement l’actualité chouchou de la «bande des 47», qui se mettent mutuellement en garde contre, selon le bord où on se trouve, la retouche du Code électoral ou n’importe quelle action pouvant empêcher aux députés de se pencher sur ledit projet de loi.
En prélude à cette bataille épique, Moussa Tine et Moustapha Niasse ont donné le ton car, le premier qui avait relevé que le Sénégal ne dispose plus d’Assemblée nationale depuis le 30 juin passé et par conséquent, aucune modification du Code électoral ne pouvait être légalement voté par des députés n’ayant ni légitimité, ni légalité, a essuyé un démenti cinglant venant du deuxième Homme de l’Etat.
Le président de l’Assemblée national qui a renvoyé l’ancien président de l’Entente Cadack-Car à ses copies, lui a servi un communiqué qui stipulait tout le contraire de cette thèse.
Mais, cette bataille du verbe risque d’engendrer une autre bataille moins distrayante si l’on n’y prend garde avec la décision de l’opposition d’envahir ce mercredi la devanture de l’Assemblée nationale pour empêcher la modification de l’article à polémique. De l’autre côté, des militants tout aussi déterminés comptent user de «leurs droits», pour obtenir gain de cause.
Alors, après avoir longtemps les vaillants Sénégalais avec l’affaire des ressources naturelles, les politiques se sont découvert un nouveau terrain de jeu continuant par tous les moins de contenir l’électeur, dans une situation perpétuelle de frayeur.
En effet, jouer à se faire peur semble être le sport favori des hommes politiques sénégalais qui n’hésitent pas à se servir de la moindre brèche pour s’y engouffrer et de rappeler de la pire des manières aux sénégalais leur existence.
Le dernier prétexte est le projet de loi portant modification de l’article L78 du Code électorale qui constitue actuellement l’actualité chouchou de la «bande des 47», qui se mettent mutuellement en garde contre, selon le bord où on se trouve, la retouche du Code électoral ou n’importe quelle action pouvant empêcher aux députés de se pencher sur ledit projet de loi.
En prélude à cette bataille épique, Moussa Tine et Moustapha Niasse ont donné le ton car, le premier qui avait relevé que le Sénégal ne dispose plus d’Assemblée nationale depuis le 30 juin passé et par conséquent, aucune modification du Code électoral ne pouvait être légalement voté par des députés n’ayant ni légitimité, ni légalité, a essuyé un démenti cinglant venant du deuxième Homme de l’Etat.
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