Invité dernièrement à l'émission "Salon d'honneur" de Walf TV, le discours "nationaliste" de Tahirou Sarr suscite beaucoup de commentaires. Le Conseil pour l'observation des règles d'éthique et de déontologie (CORED) n'en est pas insensible et met en garde les professionnels.
"Le CORED constate que monsieur Tahirou Sarr du mouvement nationaliste sénégalais, connu pour son discours public tendancieux sur les étrangers vivant au Sénégal et l'immigration, bénéficie d'une présence médiatique de plus en plus marquée". Ce que le CORED "condamne fermement", peut-on lire dans un communiqué.
"Cette banalisation de tout discours tendant à désigner l'étranger comme bouc émissaire face à certains esprits facilement influençable " a poussé le tribunal des pairs a appellé "les professionnels des médias à plus de "responsabilité".
Le CORED convoque l'article 18 du code de la presse et invite les médias b" à ne pas donner de l'audience à la parole xénophobe, raciste, stigmatisante et intolérante" et "à ne pas se faire écho de propos qui peuvent à mal la cohésion sociale". Et d'ajouter : "à censurer les appels à la violence, les discours stigmatisants, les propos haineux, les images choquantes, les injures et/ou tout ce qui peut porter atteinte à notre vivre ensemble".
"Le CORED constate que monsieur Tahirou Sarr du mouvement nationaliste sénégalais, connu pour son discours public tendancieux sur les étrangers vivant au Sénégal et l'immigration, bénéficie d'une présence médiatique de plus en plus marquée". Ce que le CORED "condamne fermement", peut-on lire dans un communiqué.
"Cette banalisation de tout discours tendant à désigner l'étranger comme bouc émissaire face à certains esprits facilement influençable " a poussé le tribunal des pairs a appellé "les professionnels des médias à plus de "responsabilité".
Le CORED convoque l'article 18 du code de la presse et invite les médias b" à ne pas donner de l'audience à la parole xénophobe, raciste, stigmatisante et intolérante" et "à ne pas se faire écho de propos qui peuvent à mal la cohésion sociale". Et d'ajouter : "à censurer les appels à la violence, les discours stigmatisants, les propos haineux, les images choquantes, les injures et/ou tout ce qui peut porter atteinte à notre vivre ensemble".
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