La lutte contre la propagation de l’épidémie du coronavirus devient de plus en plus sérieuse au moment où le Sénégal vient d’enregistrer son quatrième cas. D’où l’inquiétude et la désolation des agents de l’Administration pénitentiaire qui interpellent le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, afin qu’il intègre rapidement les prisons dans le dispositif national de surveillance et de riposte au coronavirus. Un cri de détresse qui vient à son heure puisque les prisons surpeuplées comme Rebeuss et Camp pénal constituent des milieux spécifiques dans lesquels les détenus ont souvent ont des problèmes de santé.
En dehors de la surpopulation et la promiscuité, ils sont très exposés à des risques sanitaires. Et particulièrement à des maladies contagieuses comme la tuberculose et le coronavirus. face à cette situation, un agent de la Division médico-sociale estime que des mesures de surveillance et d’hygiène doivent être prises à l’entrée des prisons comme en milieu de détention pour mieux lutter contre la propagation du coronavirus. « parce que notre compétence ne se limite qu’à la surveillance des prisons et la sécurité des détenus. Car, en matière de santé et d’hygiène, c’est le domaine du ministre de la Santé » précise notre interlocuteur avant d’ajouter que les prisons sont devenues des « incubateurs » pour divers virus dont la propagation serait rapide dans ce milieu fermé et surpeuplé.
Le Témoin
En dehors de la surpopulation et la promiscuité, ils sont très exposés à des risques sanitaires. Et particulièrement à des maladies contagieuses comme la tuberculose et le coronavirus. face à cette situation, un agent de la Division médico-sociale estime que des mesures de surveillance et d’hygiène doivent être prises à l’entrée des prisons comme en milieu de détention pour mieux lutter contre la propagation du coronavirus. « parce que notre compétence ne se limite qu’à la surveillance des prisons et la sécurité des détenus. Car, en matière de santé et d’hygiène, c’est le domaine du ministre de la Santé » précise notre interlocuteur avant d’ajouter que les prisons sont devenues des « incubateurs » pour divers virus dont la propagation serait rapide dans ce milieu fermé et surpeuplé.
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