Le procès de l'ancien dirigeant tchadien Hissène Habré, accusé de génocide, pourrait démarrer avant la fin du mois de mars. C’est du moins ce qu’annonce la conseillère juridique de l’Union africaine (UA), la Malienne Djenna Diarra à Addis-Abeba. Ce procès s’ouvrira à Dakar devant un tribunal mixte exceptionnel (composé pour moitié de juges sénégalais, et pour l'autre, de juges internationaux).
Dans un entretien accordé à nos confrères de la radio Rfi, la conseillère juridique de l’Union africaine (UA), Djenna Diarra a soutenu que « Nous pouvons vous assurer - conformément à l’engagement que le président de la République du Sénégal a démontré depuis le sommet de juillet 2012 à Addis-Abeba - que ce procès Hissène Habré va démarrer au premier trimestre 2013 ».
Par ailleurs, elle a reconnu l’existence des certains problèmes techniques dans le processus judiciaire pour un jugement d’un africain par les africains. « Nnous avons rencontré un certain nombre de problèmes techniques qui ont fait que les tribunaux sénégalais n’étaient pas compétents en la matière et nous avons dû effectuer des ajustements, ce qui a permis de prendre en compte évidemment la décision de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Il fallait que M. Hissène Habré soit jugé par un tribunal à caractère international. C’est ce qui nous a amené à proposer la solution des chambres africaines extraordinaires », précise Djenna Diarra.
Avec Rfi.fr
Dans un entretien accordé à nos confrères de la radio Rfi, la conseillère juridique de l’Union africaine (UA), Djenna Diarra a soutenu que « Nous pouvons vous assurer - conformément à l’engagement que le président de la République du Sénégal a démontré depuis le sommet de juillet 2012 à Addis-Abeba - que ce procès Hissène Habré va démarrer au premier trimestre 2013 ».
Par ailleurs, elle a reconnu l’existence des certains problèmes techniques dans le processus judiciaire pour un jugement d’un africain par les africains. « Nnous avons rencontré un certain nombre de problèmes techniques qui ont fait que les tribunaux sénégalais n’étaient pas compétents en la matière et nous avons dû effectuer des ajustements, ce qui a permis de prendre en compte évidemment la décision de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Il fallait que M. Hissène Habré soit jugé par un tribunal à caractère international. C’est ce qui nous a amené à proposer la solution des chambres africaines extraordinaires », précise Djenna Diarra.
Avec Rfi.fr
Autres articles
-
Ziguinchor : 5 entreprises accompagnées et 8 distinguées par le BMN et le COPIL-R
-
Fatick : interception de 15 kg de chanvre indien, un individu arrêté par la BRS
-
Nouvelle dynamique de développement de Ziguinchor et de la Casamance : Idrissa Benjamin Sané interpelle le président de la République
-
Affaire SOFTCARE : le ministère de la Santé annonce une mission conjointe pour faire la lumière sur les faits
-
Conseil national de la consommation : vers une baisse de 50 FCFA sur le prix du riz brisé importé dès 2026




Ziguinchor : 5 entreprises accompagnées et 8 distinguées par le BMN et le COPIL-R


