La Cour suprême djiboutienne devra décider, dimanche 11 novembre, si elle accepte ou non la demande de liberté provisoire du journaliste Houssein Ahmed Farah, incarcéré depuis le 8 août dernier. Membre également de la ligue des droits de l'homme et d'un parti d'opposition, le MDR (Mouvement pour le renouveau démocratique et le développement), le journaliste fait l'objet de harcèlement judiciaire.
Des ONG internationales de défense des droits de l'homme se mobilisent et demandent aux autorités djiboutiennes de mettre un terme aux poursuites qu'elles jugent infondées. Pour la FIDH, cette affaire est symptômatique d'une dégradation de la situation des droits de l'homme à Djibouti.
Des ONG internationales de défense des droits de l'homme se mobilisent et demandent aux autorités djiboutiennes de mettre un terme aux poursuites qu'elles jugent infondées. Pour la FIDH, cette affaire est symptômatique d'une dégradation de la situation des droits de l'homme à Djibouti.
Autres articles
-
Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation
-
Législatives en Côte d'Ivoire: émergence d'ADCI, une troisième force d'opposition
-
Les États-Unis mènent des vols de surveillance au-dessus du Nigeria
-
Au Bénin, un député en détention provisoire dans le cadre de l'enquête sur le coup d'État avorté
-
Le gouvernement libyen confirme la mort du chef d'état-major des armées dans un accident d'avion près d'Ankara




Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation


