Selon les données recueillies par le programme commun OMS/UNICEF (JMP) de surveillance de l’eau et de l’assainissement, le Sénégal n’est pas sur la voie d’atteindre la cible des OMD concernant l’assainissement. Sur la base des chiffres de couverture les plus récents de 2008, le Sénégal a sept ans pour faire passer la couverture d’assainissement de 69 à 81% dans les zones urbaines et de 38 à 61% dans les zones rurales.
Par contraste, l’accès à l’eau potable est en voie d’atteindre la cible des OMD dans les zones urbaines. Dans les zones rurales, des progrès sont nécessaires pour pouvoir faire passer la couverture de 52% (en 2008) à 72%. Mais précise le vice-président de la RADHO, même si le Sénégal atteint la cible des OMD pour l’eau dans les zones rurales, 28% de sa population rurale sera toujours privée d’un accès amélioré à l’eau potable.
Par contre a-t-il souligné : «La mauvaise qualité de l’eau et de l’assainissement contribue beaucoup à la malnutrition qui entraine de plus médiocre résultats scolaires et une plus basse productivité du travail causés par des atteintes aux fonctions cognitives et aux capacités d’apprentissage».
Des études scientifiques montrent que l’accès à l’assainissement et à l’eau n’améliore pas seulement la qualité de la vie, il apporte aussi des avantages tangibles dans les domaines de la santé, de l’environnement et de l’économie et contribue à la réduction de la pauvreté selon M. Mbodj.
A son avis, les données disponibles démontrent que même à l’échelle réduite, le financement de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement rapporte des bénéfices considérables, en termes de santé comme en termes de croissance économique.
Par contraste, l’accès à l’eau potable est en voie d’atteindre la cible des OMD dans les zones urbaines. Dans les zones rurales, des progrès sont nécessaires pour pouvoir faire passer la couverture de 52% (en 2008) à 72%. Mais précise le vice-président de la RADHO, même si le Sénégal atteint la cible des OMD pour l’eau dans les zones rurales, 28% de sa population rurale sera toujours privée d’un accès amélioré à l’eau potable.
Par contre a-t-il souligné : «La mauvaise qualité de l’eau et de l’assainissement contribue beaucoup à la malnutrition qui entraine de plus médiocre résultats scolaires et une plus basse productivité du travail causés par des atteintes aux fonctions cognitives et aux capacités d’apprentissage».
Des études scientifiques montrent que l’accès à l’assainissement et à l’eau n’améliore pas seulement la qualité de la vie, il apporte aussi des avantages tangibles dans les domaines de la santé, de l’environnement et de l’économie et contribue à la réduction de la pauvreté selon M. Mbodj.
A son avis, les données disponibles démontrent que même à l’échelle réduite, le financement de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement rapporte des bénéfices considérables, en termes de santé comme en termes de croissance économique.
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