
Le coordinateur du réseau du droit des migrants, Moussa Seydou Diallo, a fait savoir qu'il y avait « 1.500 candidats à l'émigration irrégulière interpellés avec 29 convoyeurs et 400 décès. Et dans les Îles Canaries, il y a plus de 17.000 migrants africains qui seraient arrivés au niveau des côtes ».
« Nous sommes pour l'immigration et c'est un droit. Tout être humain doit pouvoir se mouvoir, se déplacer », a-t-il expliqué, ajoutant que « quand l'individu se voit restreint cette liberté de se mouvoir, il utilise d'autres voies qu'on appelle voies suicidaires pour arriver à concrétiser ses rêves ».
M. Diallo, qui s’exprimait à un atelier dont le thème portait sur le regain de l'émigration irrégulière et politique d'emplois, a dénoncé « le manque de coordination d'actions qui permettrait à ces différentes institutions de pouvoir mieux communiquer. Ce qui fait qu'on n'a pas les résultats escomptés ».
Sur ce, il a également demandé à l'Etat du Sénégal de faire des efforts et mettre en place une communication sociale axée sur les candidats à l'émigration. « Si les jeunes sont informés sur les opportunités, les dispositifs mis en place par l'État, les pouvoirs publics, le flux serait fortement amoindri ».
M. Diallo de préciser que l'employabilité des jeunes est un autre problème. « Les jeunes sont formés, mais ne savent pas exercer un métier ».
« Nous sommes pour l'immigration et c'est un droit. Tout être humain doit pouvoir se mouvoir, se déplacer », a-t-il expliqué, ajoutant que « quand l'individu se voit restreint cette liberté de se mouvoir, il utilise d'autres voies qu'on appelle voies suicidaires pour arriver à concrétiser ses rêves ».
M. Diallo, qui s’exprimait à un atelier dont le thème portait sur le regain de l'émigration irrégulière et politique d'emplois, a dénoncé « le manque de coordination d'actions qui permettrait à ces différentes institutions de pouvoir mieux communiquer. Ce qui fait qu'on n'a pas les résultats escomptés ».
Sur ce, il a également demandé à l'Etat du Sénégal de faire des efforts et mettre en place une communication sociale axée sur les candidats à l'émigration. « Si les jeunes sont informés sur les opportunités, les dispositifs mis en place par l'État, les pouvoirs publics, le flux serait fortement amoindri ».
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