Les cercueils de 158 victimes de l’explosion d’un dépôt de munitions à Brazzaville arrivent au Palais des Congrès pour l’hommage officiel, le 11 mars 2012. AFP PHOTO/GUY GERVAIS KITINA
Dans la foule on entend des pleurs, des lamentations. Les familles des victimes, un portrait du proche décédé serré dans les mains, craquent lorsque les camions qui amènent les cercueils entrent sur l’esplanade du Palais des Congrès. « Je ne sais pas comment vous expliquer, mais ça nous fait très mal de voir tous ces cercueils. Ca nous fait mal », pleure une proche.
A la tribune, le général Florent Ntsiba, ministre du Travail, parle au nom du chef de l’Etat. Il témoigne de la douleur qui frappe les hautes autorités du Congo : « Je n’ai que deux pinceaux pour peindre ce triste tableau. Celui de ma grande douleur ! Celui de mes larmes ! Congolais de toutes les générations, puisse le sang répandu dans cette funeste journée devenir l’élément de soudure entre le temps du malheur et le temps d’espérance ».
Un message puissant, entendu par ceux qui ont perdu un proche, mais qui n’enlève rien à l’amertume de ces familles endeuillées. « Les mots me manquent, confie un homme touché par cette tragédie. C’est très triste, par la bêtise humaine encore, parce qu’on ne peut pas comprendre que dans une ville comme Brazzaville, nos gouvernants continuent de garder des dépôts d’armes et de munitions dangereuses ».
Dans l’attente d’une réponse, l’enquête sera longue, le traumatisme de cette catastrophe mettra du temps à s’estomper.
Source: RFI
A la tribune, le général Florent Ntsiba, ministre du Travail, parle au nom du chef de l’Etat. Il témoigne de la douleur qui frappe les hautes autorités du Congo : « Je n’ai que deux pinceaux pour peindre ce triste tableau. Celui de ma grande douleur ! Celui de mes larmes ! Congolais de toutes les générations, puisse le sang répandu dans cette funeste journée devenir l’élément de soudure entre le temps du malheur et le temps d’espérance ».
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