Le ministère de l’Intérieur vient d’annoncer le démantèlement d’une cellule qui s’entraînait à perpétrer des actes terroristes lors du référendum.
Depuis l’attentat de Mansourah qui a fait 17 morts en décembre, il ne se passe pratiquement plus un jour sans que les médias n’annoncent qu’une ou plusieurs bombes ont été désamorcées ou que des ceintures explosives ont été trouvées en possession de groupuscules proche des Frères musulmans.
Un climat qui a provoqué la phobie de l’attentat chez beaucoup d’Egyptiens qui ont donc peur de participer au référendum constitutionnel et préfèrent attendre voir comment les choses vont se passer.
Depuis l’attentat de Mansourah qui a fait 17 morts en décembre, il ne se passe pratiquement plus un jour sans que les médias n’annoncent qu’une ou plusieurs bombes ont été désamorcées ou que des ceintures explosives ont été trouvées en possession de groupuscules proche des Frères musulmans.
Un climat qui a provoqué la phobie de l’attentat chez beaucoup d’Egyptiens qui ont donc peur de participer au référendum constitutionnel et préfèrent attendre voir comment les choses vont se passer.
Autres articles
-
Congo-Brazzaville: cinq jours sans électricité dans la capitale
-
Canicule en Guinée: «Il va falloir faire des choses concrètes»
-
Mali: la Cour constitutionnelle demande des comptes sur les émoluments des membres du CNT
-
Mali : la Cour constitutionnelle «incompétente» sur la suspension des activités des partis
-
Bénin: la Criet ouvre le procès de 42 personnes interpellées lors de l’élection présidentielle de 2021