![Encore un autre étudiant abattu par les policiers Encore un autre étudiant abattu par les policiers](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/3669474-5383189.jpg?v=1326796328)
Jean-Michel Cabral était un étudiant guinéen, en deuxième année d’informatique à l’université de Ziguinchor. C’est ce lundi, lors de la grève des élèves et étudiants de la région qui exigeaient le retour des professeurs en classe qu’il a été atteint au ventre.
Les interventions des chirurgiens au bloc opératoire de l’hôpital de Ziguinchor ne parviendront pas à sauver la vie du jeune ressortissant guinéen qui finira par céder à sa grave blessure. « Les militaires ont ouvert le feu par trois fois. C’est au troisième coup qu’il a été gravement atteint au ventre », a témoigné dans les colonnes du journal « L’observateur », un étudiant gréviste, sous le couvert de l’anonymat.
Néanmoins, « nous attendons avec impatience le certificat de genre de mort et nous n’excluons pas de porter plainte contre ce soldat », laissent entendre ses camarades étudiants.
Jean-Michel Cabral vient ainsi s’ajouter à la liste des étudiants victimes des balles policières, après Balla Gaye et les blessés lors des évènements de 2006, sans compter l’abattage de jeunes citoyens dans les scandales fonciers. Toutefois, les bourreaux des étudiants qui se trouvent être des policiers ne sont jusque-là pas inquiétés.
Les interventions des chirurgiens au bloc opératoire de l’hôpital de Ziguinchor ne parviendront pas à sauver la vie du jeune ressortissant guinéen qui finira par céder à sa grave blessure. « Les militaires ont ouvert le feu par trois fois. C’est au troisième coup qu’il a été gravement atteint au ventre », a témoigné dans les colonnes du journal « L’observateur », un étudiant gréviste, sous le couvert de l’anonymat.
Néanmoins, « nous attendons avec impatience le certificat de genre de mort et nous n’excluons pas de porter plainte contre ce soldat », laissent entendre ses camarades étudiants.
Jean-Michel Cabral vient ainsi s’ajouter à la liste des étudiants victimes des balles policières, après Balla Gaye et les blessés lors des évènements de 2006, sans compter l’abattage de jeunes citoyens dans les scandales fonciers. Toutefois, les bourreaux des étudiants qui se trouvent être des policiers ne sont jusque-là pas inquiétés.
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