L’essentiel des inscriptions des étudiants est réinvesti dans leur formation. C’est l’aveu de Mary Teuw Niane de passage hier à l’Assemblée nationale pour l’examen du budget de son ministère : «60% des droits pédagogiques vont à l’appui et à la professionnalisation 20% à la pédagogie, 10% à la formation doctorale, 5% à la mobilité de l’étudiant et enfin 5% à la vie estudiantine. Cela veut dire que de manière générale, ce que les étudiants cotisent comme droits d’inscription revient essentiellement à leur formation. Et c’est largement insuffisant»
En ce qui concerne la formation dans les écoles privées, Mary Teuw Niane annonce que les filières devraient être en adéquation avec les exigences définies par les autorités. C’est-à-dire par l’Anac ou par le Cames : «Etant entendu aussi que l’agrément provisoire n’est donné que pour une durée. Quand la durée est terminée et que les filières n’ont pas d’accréditation, l’établissement va être fermé. Et ceci est dans le cadre de réorganisation et de modernisation de ce secteur »
Concernant les bacheliers orientés dans les établissements privés, l’ancien recteur de l’université Gaston Berger de Saint-Louis déclare : «les bacheliers que nous avons envoyés dans le privé ont aujourd’hui eu la licence. Certains vont continuer pour faire des masters dans les établissements où ils étaient, ou ils vont continuer dans les établissements publics, mais le master pour tous n’existe nulle part. Par contre, il y aura un pourcentage pour lequel nous prendrons en charge les formations en master. C’est-à-dire les meilleurs seront accompagnés pour faire le master».
Cette année, le budget de son ministère a connu une hausse de 19 043 232 860 F. En effet, en lieu et place des 130 197 482 440 FCfa, l’Assemblée nationale lui a octroyé la somme de 149 240 715 300 FCfa.
En ce qui concerne la formation dans les écoles privées, Mary Teuw Niane annonce que les filières devraient être en adéquation avec les exigences définies par les autorités. C’est-à-dire par l’Anac ou par le Cames : «Etant entendu aussi que l’agrément provisoire n’est donné que pour une durée. Quand la durée est terminée et que les filières n’ont pas d’accréditation, l’établissement va être fermé. Et ceci est dans le cadre de réorganisation et de modernisation de ce secteur »
Concernant les bacheliers orientés dans les établissements privés, l’ancien recteur de l’université Gaston Berger de Saint-Louis déclare : «les bacheliers que nous avons envoyés dans le privé ont aujourd’hui eu la licence. Certains vont continuer pour faire des masters dans les établissements où ils étaient, ou ils vont continuer dans les établissements publics, mais le master pour tous n’existe nulle part. Par contre, il y aura un pourcentage pour lequel nous prendrons en charge les formations en master. C’est-à-dire les meilleurs seront accompagnés pour faire le master».
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