Dr Jean Marie Sène, coordonnateur du CUDAPES (Conseil des Universités et Écoles Privées de l'Enseignement Supérieur) a mentionné, ce vendredi, l'existence d'une dette gouvernementale envers les institutions privées due aux premières orientations d'étudiants.
" (...) Lors des dernières discussions, la dette que l'État du Sénégal nous doit ça faisait moins de 10 milliards FCFA, mais ils sont en train de faire le point pour vérifier, ou bien est-ce qu'il n y a pas une partie de cette dette aussi qui est une dette fictive", a indiqué Dr Sène.
Mohamed Ndiaye, membre du cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur privé, a évoqué les défis et les opportunités qui se présentent dans ce domaine lors d'un atelier organisé par le Cadre unitaire des organisations des établissements privés d'enseignement supérieur du Sénégal (CUDOPES).
Lors de la rencontre tenue pour réfléchir aux modalités d'amélioration du système d'enseignement supérieur privé, Mouhamed Ndiaye a expliqué que le Baccalauréat, étant le premier diplôme universitaire, offre aux étudiants une palette de choix entre les institutions publiques et privées. Cependant, il a noté que " l'orientation vers les institutions privées se fait souvent après celle vers les institutions publiques, ce qui crée une inégalité perçue entre les deux secteurs."
Il a insisté sur la nécessité d'une réforme du système d'orientation pour garantir l’équité entre les institutions publiques et privées. " Si nous voulons relever le défi de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, il ne faudrait pas faire la distinction entre le public et le privé. Il faudrait miser sur la qualité ", a-t-il déclaré.
Le membre du cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur privé a aussi abordé " l'importance de stabiliser l'année académique pour éviter le chevauchement des années scolaires, un problème qui affecte tant les finances de l'État que le cursus des étudiants." À l'en croire, l'adoption du système Licence-Master-Doctorat (LMD) par les universités sénégalaises, publiques et privées cause parfois des problèmes. Ainsi, M. Ndiaye a souligné les difficultés liées à son implémentation, notamment le chevauchement des années qui pousse certains étudiants à reprendre une année lorsqu’ils poursuivent leurs études à l'étranger.
La rencontre vise à produire un document programme proposant des solutions concrètes pour le développement de l'enseignement supérieur privé. Ces solutions incluent la création de procédures d'habilitation institutionnelle pour garantir la qualité de l'enseignement et des orientations équitables.
" (...) Lors des dernières discussions, la dette que l'État du Sénégal nous doit ça faisait moins de 10 milliards FCFA, mais ils sont en train de faire le point pour vérifier, ou bien est-ce qu'il n y a pas une partie de cette dette aussi qui est une dette fictive", a indiqué Dr Sène.
Mohamed Ndiaye, membre du cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur privé, a évoqué les défis et les opportunités qui se présentent dans ce domaine lors d'un atelier organisé par le Cadre unitaire des organisations des établissements privés d'enseignement supérieur du Sénégal (CUDOPES).
Lors de la rencontre tenue pour réfléchir aux modalités d'amélioration du système d'enseignement supérieur privé, Mouhamed Ndiaye a expliqué que le Baccalauréat, étant le premier diplôme universitaire, offre aux étudiants une palette de choix entre les institutions publiques et privées. Cependant, il a noté que " l'orientation vers les institutions privées se fait souvent après celle vers les institutions publiques, ce qui crée une inégalité perçue entre les deux secteurs."
Il a insisté sur la nécessité d'une réforme du système d'orientation pour garantir l’équité entre les institutions publiques et privées. " Si nous voulons relever le défi de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, il ne faudrait pas faire la distinction entre le public et le privé. Il faudrait miser sur la qualité ", a-t-il déclaré.
Le membre du cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur privé a aussi abordé " l'importance de stabiliser l'année académique pour éviter le chevauchement des années scolaires, un problème qui affecte tant les finances de l'État que le cursus des étudiants." À l'en croire, l'adoption du système Licence-Master-Doctorat (LMD) par les universités sénégalaises, publiques et privées cause parfois des problèmes. Ainsi, M. Ndiaye a souligné les difficultés liées à son implémentation, notamment le chevauchement des années qui pousse certains étudiants à reprendre une année lorsqu’ils poursuivent leurs études à l'étranger.
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