L’Afrique du Sud jette toutes ses forces dans la bataille qui l’oppose à l’Australie et à la Nouvelle-Zélande pour accueillir le SKA (Square kilometre Array), le plus grand radio-téléscope du monde. C’est un projet gigantesque : installer quelque 3000 paraboles pour un montant évalué à 2 milliards de dollars. Quand il sera opérationnel, aux alentours de 2020, il devra permettre aux scientifiques d’étudier de plus près l’enfance de l’univers.
L’Afrique du Sud est persuadée d’avoir toutes les qualités requises pour accueillir ce projet. C’est d’ailleurs un projet africain plus que sud-africain martèle la ministre de la Science et de la Technologie. Neuf pays du continent y sont en effet associés. Et l’Afrique est prête, ajoute-t-elle.
Les autres points forts du dossier africain
Le choix du site, en Afrique du Sud dans la région quasi-désertique du Karoo, aurait plusieurs avantages : il n'y a presqu’aucune interférence radio, et une altitude plus élevée que le site australien concurrent. Un peu plus proche des étoiles en somme. Les coûts de construction devraient être moins élevés en Afrique du Sud qu’en Australie.
Enfin, le pays est facile d’accès pour la communauté scientifique. Et les Sud-Africains s’emploient à former des astronomes.
D’après la très sérieuse revue scientifique Nature, l’Afrique du Sud tiendrait en effet la corde, mais la course reste serrée.
Source: RFI
L’Afrique du Sud est persuadée d’avoir toutes les qualités requises pour accueillir ce projet. C’est d’ailleurs un projet africain plus que sud-africain martèle la ministre de la Science et de la Technologie. Neuf pays du continent y sont en effet associés. Et l’Afrique est prête, ajoute-t-elle.
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