Doyen Alioune Tine, vous permettez,
Vous dites qu’on a l’impression « qu’il se met petit à petit en place un État pastefien ».
Nous assumons pleinement cette idée, car pour nous, PASTEF est un état d’esprit, le don de soi en bandoulière, qui se traduit par la transformation systémique du Sénégal, un pays gangrené par plus de 60 ans de mal gouvernance.
Un État pastefien pour nous, c’est un État où payer l’impôt est un devoir pour chaque contribuable, où les ressources sont partagées équitablement, et où tous les citoyens sont égaux devant la justice. C’est un État qui garantit à tous ses citoyens l’accès à la santé, à l’éducation, au logement et à un emploi décent, non pas comme des luxes, mais comme des droits fondamentaux. Un État pastefien pour nous, c’est un État où les autorités sont les serviteurs de la nation et ne se servent pas du peuple. C’est un État où les compétences et les mérites sont reconnus et récompensés, indépendamment des affiliations politiques.
Doyen Alioune Tine, vous avez, de par votre expérience, travaillé dans de nombreux pays comme expert en promotion de la démocratie. Si vous avez vu dans un de ces pays un Président qui a gagné des élections avec son parti politique et choisi des ressources humaines ailleurs qu’au sein de son parti, veuillez nous indiquer quel est ce pays. Si le Président Bassirou Diomaye Faye, dans sa mission de nommer aux emplois civils et militaires, trouve les compétences nécessaires au sein du Pastef, c’est parce que ces militants comprennent les enjeux, ont payé le prix fort de la révolution, et possèdent les compétences requises pour occuper ces postes de responsabilité. Un Président a besoin d’une équipe de confiance pour réaliser sa vision, et nous ne voyons aucun mal à ce que les personnes les mieux qualifiées et les plus engagées soient choisies pour ces rôles.
Le long combat politique de notre parti, marqué par des arrestations et des pertes tragiques, a forgé une détermination et un sens profond du devoir chez nos militants. Cette histoire de lutte et de sacrifice est ce qui guide notre engagement pour un Sénégal meilleur, plus juste et plus équitable.
Respectueusement,
Alioune Badara MBOUP*,
Coordonnateur de PASTEF Tivaouane.
Vous dites qu’on a l’impression « qu’il se met petit à petit en place un État pastefien ».
Nous assumons pleinement cette idée, car pour nous, PASTEF est un état d’esprit, le don de soi en bandoulière, qui se traduit par la transformation systémique du Sénégal, un pays gangrené par plus de 60 ans de mal gouvernance.
Un État pastefien pour nous, c’est un État où payer l’impôt est un devoir pour chaque contribuable, où les ressources sont partagées équitablement, et où tous les citoyens sont égaux devant la justice. C’est un État qui garantit à tous ses citoyens l’accès à la santé, à l’éducation, au logement et à un emploi décent, non pas comme des luxes, mais comme des droits fondamentaux. Un État pastefien pour nous, c’est un État où les autorités sont les serviteurs de la nation et ne se servent pas du peuple. C’est un État où les compétences et les mérites sont reconnus et récompensés, indépendamment des affiliations politiques.
Doyen Alioune Tine, vous avez, de par votre expérience, travaillé dans de nombreux pays comme expert en promotion de la démocratie. Si vous avez vu dans un de ces pays un Président qui a gagné des élections avec son parti politique et choisi des ressources humaines ailleurs qu’au sein de son parti, veuillez nous indiquer quel est ce pays. Si le Président Bassirou Diomaye Faye, dans sa mission de nommer aux emplois civils et militaires, trouve les compétences nécessaires au sein du Pastef, c’est parce que ces militants comprennent les enjeux, ont payé le prix fort de la révolution, et possèdent les compétences requises pour occuper ces postes de responsabilité. Un Président a besoin d’une équipe de confiance pour réaliser sa vision, et nous ne voyons aucun mal à ce que les personnes les mieux qualifiées et les plus engagées soient choisies pour ces rôles.
Le long combat politique de notre parti, marqué par des arrestations et des pertes tragiques, a forgé une détermination et un sens profond du devoir chez nos militants. Cette histoire de lutte et de sacrifice est ce qui guide notre engagement pour un Sénégal meilleur, plus juste et plus équitable.
Respectueusement,
Alioune Badara MBOUP*,
Coordonnateur de PASTEF Tivaouane.
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