Le budget national pour l’année 2025, fixé à 6 614,8 milliards FCFA, marque un tournant stratégique dans la gestion des ressources publiques, en cohérence avec l’Agenda national de transformation « Sénégal 2050 ». À travers une lettre circulaire datée du 21 janvier 2025, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a détaillé les mesures et directives pour une exécution efficace et conforme des dépenses publiques.
La mise en place des crédits budgétaires pour l’exercice 2025 repose sur la loi n°2025-02 du 6 janvier 2025, promulguée pour encadrer la gestion des ressources publiques. Ces crédits sont désormais intégrés dans le Système support du budget programme (Sysbydgep). Le ministre a insisté sur " la nécessité pour les ministres et présidents d’institutions constitutionnelles, en tant qu’ordonnateurs principaux, de désigner les acteurs internes clés de la gestion budgétaire."
Ces acteurs incluent les gestionnaires de crédits, les membres des commissions de marchés et de réception des travaux, les billeteurs, les gestionnaires de comptes de dépôt, ainsi que les comptables des matières. Le gestionnaire de crédits, en particulier, joue un rôle opérationnel essentiel, notamment dans l'exécution des dépenses des programmes ministériels et dans le respect des normes de conformité.
Cheikh Diba a rappelé que " l'exécution des dépenses publiques doit répondre à des objectifs stratégiques alignés sur les priorités économiques et politiques nationales." Une attention particulière est accordée à la promotion de l'économie sociale et solidaire ainsi qu’au soutien des Petites et Moyennes Entreprises (PME) nationales.
En application de l’article 6 du décret n°2022-2295 du 28 décembre 2022 portant Code des marchés publics, les autorités contractantes sont tenues de réserver 5 % de leur budget annuel à ces acteurs économiques. Parmi ces 5 %, une part de 2 % est spécifiquement dédiée aux PME dirigées par des femmes. Ces mesures visent à renforcer l’inclusion économique et à promouvoir une croissance durable.
Avec l’Agenda Sénégal 2050 comme cadre directeur, ces initiatives ambitionnent de poser les bases d’une transformation économique et sociale durable, tout en répondant aux impératifs de bonne gouvernance et de patriotisme économique, indique L'Observateur.
La mise en place des crédits budgétaires pour l’exercice 2025 repose sur la loi n°2025-02 du 6 janvier 2025, promulguée pour encadrer la gestion des ressources publiques. Ces crédits sont désormais intégrés dans le Système support du budget programme (Sysbydgep). Le ministre a insisté sur " la nécessité pour les ministres et présidents d’institutions constitutionnelles, en tant qu’ordonnateurs principaux, de désigner les acteurs internes clés de la gestion budgétaire."
Ces acteurs incluent les gestionnaires de crédits, les membres des commissions de marchés et de réception des travaux, les billeteurs, les gestionnaires de comptes de dépôt, ainsi que les comptables des matières. Le gestionnaire de crédits, en particulier, joue un rôle opérationnel essentiel, notamment dans l'exécution des dépenses des programmes ministériels et dans le respect des normes de conformité.
Cheikh Diba a rappelé que " l'exécution des dépenses publiques doit répondre à des objectifs stratégiques alignés sur les priorités économiques et politiques nationales." Une attention particulière est accordée à la promotion de l'économie sociale et solidaire ainsi qu’au soutien des Petites et Moyennes Entreprises (PME) nationales.
En application de l’article 6 du décret n°2022-2295 du 28 décembre 2022 portant Code des marchés publics, les autorités contractantes sont tenues de réserver 5 % de leur budget annuel à ces acteurs économiques. Parmi ces 5 %, une part de 2 % est spécifiquement dédiée aux PME dirigées par des femmes. Ces mesures visent à renforcer l’inclusion économique et à promouvoir une croissance durable.
Avec l’Agenda Sénégal 2050 comme cadre directeur, ces initiatives ambitionnent de poser les bases d’une transformation économique et sociale durable, tout en répondant aux impératifs de bonne gouvernance et de patriotisme économique, indique L'Observateur.
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